Histoires et récits érotiques Inceste Père fille

Histoires et récits érotiques Inceste Père fille | La chambre de ses parents était assez spacieuse un peu dans un style zen. Le lit était d’une largeur peu commune de un mètre soixante. La couette légère jaune pâle était découverte laissant voir le drap du dessous bleu azur. Cécile s’était déjà déshabillée. Son père, Alfred, un bel homme assez athlétique de plus de cinquante ans, portait une sorte de kimono japonais en soie. J’arrivais de la douche une serviette me ceignant les reins. Je me sentais un peu gauche quand Alfred nous invita.

-Allongez vous donc sur le lit !
Je regardais Cécile qui n’avait pas l’air trop troublée. Elle s’exécuta de bonne grâce, mettant d’abord un genou sur le drap puis se laissant aller à s’allonger sur le dos. Je m’asseyais d’abord sur le bord du lit puis m’étendais à ses cotés. Je fus tenté de tirer la couette pour nous couvrir un peu, mais Alfred fit « tst, tst, » en la retirant doucement. Cécile se blottis contre moi, puis d’un geste habile défit ma serviette. En se penchant légèrement au-dessus de moi pour la faire retomber au sol, elle appuya ses seins contre ma poitrine et m’embrassa goulûment. Son père, se tenant pratiquement au pied du lit, nous regardait tranquillement, la veste du kimono ouverte sur sa poitrine assez velue, et une main glissée dans le pantalon.
-Elle est jolie ma fille, hein, André ! Une belle nana bien foutue et attirante… Je comprends qu’on la désire. Et je constate avec plaisir qu’elle a choisi un garçon pas mal non plus. Comme père j’en suis très fier, et j’avoue avoir eu moi aussi, ces dernières années, des idées pas tout à fait de père…
- Oh arrête Papa ! dit Cécile
J’étais très déconcerté, mais je me devais de répondre, j’avalais ma salive et j’avouais :
-Moi je dois bien avouer avoir été très surpris, abasourdi même, lorsqu’elle m’a avoué que vous, son père, étiez l’archétype de l’homme attirant, désirable. Et je… peux même vous dire qu’un jour, en confidence dans nos jeux, elle m’a avoué qu’après avoir surpris vos ébats avec vos amis, s’être caressée avec des fantasmes de…de…
- Ah ah ! Tu peux me dire « tu », André. Nous savions depuis longtemps, Odile, ma femme et moi qu’elle nous avions été « surpris » mais nous n’en avions pas parlé. C’était un secret de famille. Mais je peux bien l’avouer, moi aussi j’en ai eu, je l’admets, et il n’y a pas si longtemps encore des idées de…disons de drôles d’idées.

Cécile tout en blottissant son visage dans mon aisselle, s’était allongée sur le dos, les jambes légèrement écartée, exhibant sa délicate toison et sa fente au regard de son père qui, j’en suis sûr, se caressait le sexe. Je massais un peu ses seins qui avaient bien durci, puis descendais une main sur son ventre, marquant un temps d’arrêt, n’osant aller plus loin. Devant le regard brillant de Alfred qui m’intima : « Continue ! » je repris la descente, j’atteignais son sexe. Ses grandes lèvres étaient bien gonflées et à peine effleurées, s’écartaient. Elle poussa un léger râle serrant encore plus son visage contre moi. Son sillon souvent humide était là trempé. L’improbable de la situation avait terriblement accentué son excitation, d’où sa mouille abondante. J’écartais délicatement et habilement ses petites lèvres et glissais doucement deux doigts dans son vagin. Elle se cabra un petit peu. Je les ressortais trempés et les frottais un peu son clitoris. Elle eut alors plusieurs soupirs qui ressemblaient à des petites plaintes…
J’avais une érection démentielle que Alfred pouvait apprécier, mais ses yeux semblaient hypnotisés par mes doigts visitant la chatte de sa fille qui écartait désormais largement les cuisses…

Une situation inédite ! Nous étions bien loin du scénario d’origine qui n’était pas du tout celui-là !
Lorsque je lui avais parlé de nous exhiber en faisant l’amour dans un lieu public, elle m’avait répondu que son père était très libertin, ainsi que sa mère. Elle avait plus d’une fois surpris les ébats de ses parents avec un couple d’amis, les mêmes, j’ai cru comprendre. A ces occasions, elle avait remarqué que Alfred, son père, était particulièrement voyeur, regardant sa femme se faire prendre par l’homme et même par la femme du couple avec une sorte de godemiché.

Par la suite, elle m’avait avoué l’avoir surpris plus d’une fois à la mater lorsque, nue, elle prenait sa douche et quelque fois son bain. Comme elle le trouvait pas mal, plutôt bel homme même, elle en tirait une certaine fierté et même admit elle, une excitation assez trouble. Elle l’avait même surpris en train de se masturber, elle avait fait semblant de ne s’apercevoir de rien mais ça l’avait terriblement excitée. Je lui ai alors dit que ce n’était pas pour me surprendre. Après tout son père est un homme aimant les femmes. Et que moi-même comme voyeur, j’étais également un peu exhibitionniste. L’idée de faire l’amour avec elle devant des inconnus était une idée qui m’excitait particulièrement. Le problème était : comment créer les circonstances. Et frein majeur, comment tenir à distance ces inconnus qui materaient mais ne devaient pas intervenir dans nos jeux érotiques.
Je ne sais plus trop comment, après quels délires érotiques, nous en étions arrivés à l’idée de faire l’amour dans des circonstances où son père pourrait nous voir, une porte entrebâillée, ou derrière un miroir sans tain ou tout autre scénario improbable. Cette idée suggérée, pimentée parce que je lui soufflais à l’oreille lorsque nous faisions l’amour, l’avait amenée à avoir un orgasme démentiel et moi de même. Mais j’étais loin d’imaginer que ce délire, elle essaierait de le mettre en en pratique. Et pourtant…

Ce jour là, après quelques verres et une conversation très « débridée » où Alfred avait évoqué, par euphémismes quand même, devant moi et sa fille quelques-uns de ses libertinages avec sa femme, Cécile avait découvert qu’elle ne connaissait en fait que certains amis, et « la partie émergée de l’iceberg » ! Après avoir quitté le salon sous l’invitation de Alfred à me faire visiter, nous nous trouvions donc dans cette chambre parentale, avec ce lit un peu découvert. Odile, la mère de Cécile avait du s’absenter pour je ne sais quoi. Alfred, tout à trac proposa crument :
-Vous ne voudriez pas faire l’amour ici, devant moi ? J’aimerai bien voir deux jeunes gens, deux jeunes corps s’emmêler. Je dois dire que suis très, très voyeur…je vous choque ?
J’étais interloqué :
- Ben…heu…Alfred, vous ne… enfin, Cécile est votre fille, et…
- Et quoi ? C’est désormais une femme, une belle femme, même, et elle a sa vie…et sa sexualité… Vous baisez ensemble, non ? Alors ce serait comme si je surprenais les ébats d’un couple inconnu…

C’était choquant mais j’éprouvais une excitation très trouble et très forte à cette idée. Nos fantasmes, nos délires et de la puissance de notre plaisir me revenaient en fulgurance. La décision revenait bien sûr à Cécile et j’imaginais qu’elle allait rabrouer son père. Que la proposition la choquait quand même. Le délire c’est bien, l’imaginaire ça va, mais elle allait être rebelle au passage à l’acte. Pourtant, sans dire un mot, juste avec une sorte de soupir, comme si elle avait attendu cette proposition, elle avait haussé les épaules et commencé à ôter son pull, dévoilant ses seins gonflés pris dans un fin soutien gorge. Puis avait fait tomber sa jupe découvrant sa fine culotte blanche. Je compris immédiatement le message. Je tombais à mon tour chemise et pantalon. Toutefois, encore en slip, j’avais demandé à passer à la douche, pour être plus sur de mon hygiène. Je ne m’étais pas attardé sous le jet brûlant. En revenant Cécile était entièrement nue, debout… Alfred était resté debout, spectateur, attendant que nous commencions, mais il n’était pas que voyeur, il s’improvisait directeur! Nous en étions là…

Alfred demanda alors à Cécile :
-Ma chérie, je pense que vous l’avez déjà fait souvent. Je voudrais te voir sucer la verge de André ! Ce ne sera pas la première fois, je pense. Sauf que vous le faites « intimes ». Alors pour une fois avec un voyeur… Suce sa… queue ! Montre-moi ; j’aimerai voir comment tu pompes…
Cécile sortit son visage du creux de mon épaule et me regarda. Je lui répondis :
- ben…
Elle murmura alors à l’adresse de son père :
-Vraiment, Papa ? Tu veux voir ? …Bon…
Mais sans attendre de réponse à sa question quasi inaudible, elle se redressa sur un coude, s’empara doucement d’une main de ma verge raide, puis se penchant sur elle, commençât à lécher le gland qui perlait franchement, titillant habilement la fente de la langue. Un regard sur son père qui, les yeux brillants, la matait, elle l’absorbât enfin dans sa bouche, ramenant d’elle-même ses cheveux en arrière, pour que Alfred puisse bien voir l’action de son visage et de sa bouche engloutissant le bâton de chair.
Alfred avait fait tomber son kimono et nous présentait sa queue qu’il astiquait doucement en regardant sa fille me pomper. Je regardais sa main aller et venir sur sa verge sensiblement de même taille que la mienne très raide, le gland violacé bien découvert.
Il commenta :
-Cécile, j’apprécie que tu me regardes tout en suçant ! J’avoue que tu suces super bien ! C’est très excitant à voir ! C’est plus que de la technique ma fille, visiblement t’aimes ça, hein ! André n’a pas eu à te convaincre, je pense.
Puis, immédiatement exigeât :
- Mais toi, tu es négligée ma pauvre. Cécile. Mets-toi au dessus de André, à califourchon au dessus de son visage, qu’il puisse contempler ta chatte et la lécher en même temps ! Allez, les tourtereaux, faites-moi voir un vrai 69 !

Cécile me lâcha un court instant, le temps que je me mette en travers du lit, puis, toujours sans dire un mot, elle m’enjamba tête bêche, redescendant sa vulve sur mon visage, et aussitôt se remit à l’ouvrage sur ma queue raide. Je contemplais sa chatte ouverte et vraiment bien trempée au dessus de mon menton. J’ouvrais son vagin à deux mains et tentais de boire le maximum de jus qui ruisselait. Je ne me rappelais pas l’avoir vue tant mouiller, dégouliner plutôt. Son petit clitoris était également bien découvert. Le délire de cette situation l’excitait autant que moi au plus haut point.
Alfred bougeait de coté pour nous voir agir simultanément et annonça :
- Vous êtes trop excitants. J’ai très envie de prendre des photos. Rassurez-vous, elles ne sortiront pas d’ici. Je pense que je peux, non ? Je ne vais pas vous déranger…Attendez, j’ai l’appareil là.
J’avais le visage enfouis dans la chatte de Cécile et j’entendis Alfred bouger pas mal, sans doute pour prendre des photos sous différents angles. Je l’entendis me dire près du visage, en faisant un gros plan :
-Elle est chouette cette moule, hein André ? Et sa liqueur ? Elle est bonne ? Elle a l’air ! Elle mouille bien, hein ? Un instant, écarte la bien pour la photo.
Je grognais d’appréciation et léchais le clitoris tant que je pouvais, excitant Cécile qui, toute à ses sensations, négligeait un peu sa fellation tout en gardant ma queue dans sa bouche.
Alfred introduisit alors sous mon nez, deux doigts dans le vagin de Cécile. Il les ressortit complètement trempés de liqueur vaginale. Je devinais qu’il les portait à sa bouche, car j’entendis :
-Hum, délicieux ! Vraiment très stimulant ce jus, très aphrodisiaque! Elle te gâte, André !
Quand soudain, une main de Alfred claqua sur une des fesses de Cécile, nous l’entendîmes dire :
-T’aimes ça, hein ma fille, te faire brouter ! Hein ! Je vois ça ! Offrir ta chatte ouverte comme ça ! T’as trouvé le bon amant.

Histoires et récits érotiques Inceste Père fille

Je voyais la fesse un peu rougie ; une autre main claqua sur l’autre fesse, je réalisais que Alfred avait posé l’appareil photos. Puis il posa ses mains sur les hanches de sa fille pour redresser sa croupe. Sentant ce qui se qui se tramait, soumise aux gestes de son père, Cécile avait lâché ma queue. Mais moi, la tête redressée à faire mal je gardais encore le clitoris aspiré entre mes lèvres, sous ma langue. Perdant alors toute contenance, se laissant aller, elle poussa un râle puissant, hoquetant, et jouit violement, inondant encore plus ma bouche et mon visage. Ce fut tellement fort que moi, subjugué et inondé par sa liqueur, je jouis également pratiquement en même temps éjaculant puissamment sur son visage et sa bouche, en plusieurs giclées abondantes, râlant de plaisir dans mes spasmes. Je savais que maintenant il ne fallait plus agacer son clitoris désormais hyper sensible. Elle était effondrée sur moi, aussi frissonnante que moi. Nous restâmes un instant immobiles.
La voix de Alfred nous rappela à la réalité :

-Bravo les enfants, c’est super de vous voir prendre votre pied ! Un super pied, hein ! On voit que c’est sincère, c’est pas de la frime ! C’est bon, hein, de jouir comme ça ! Vous avez bien bu tous les deux… C’était un magnifique spectacle ! J’ai vraiment apprécié ! Mais… ce n’est pas fini mes tourtereaux, si vous le voulez bien, reprenez des forces…
Alfred, les deux mains toujours sur les hanches de sa fille, guida plus haut la croupe de Cécile qui, encore un peu dans les vapeurs du plaisir, se laissa redresser au dessus de mon visage. Il la tira un peu en arrière. Encore un peu sonnée, elle n’opposait guère de résistance. J’étais moi-même encore en descente de mon plaisir et je contemplais sa vulve ouverte et bien mouillée. Je vis alors en gros plan, au dessus de mon visage, s’approcher la queue de Alfred : la verge de son père, bandée, tuméfiée même, les veines gonflées, qui s’avançait. Le gland mafflu frappa deux coups un peu imprécis, à coté du puits luisant de liqueur, ruisselant même, puis s’imposa doucement dans le vagin ouvert, offert plutôt, de sa fille, sans aucune résistance. Je le voyais de près, le gland à peine entré, tout le membre s’enfoncer en prenant sa place entre les petites lèvres dans le fourreau de Cécile. Il y eut une secousse plus forte et tout le pieu de chair était entré vigoureusement jusqu’aux couilles de Alfred. Cécile qui pouvait sembler se laisser guider passivement jusqu’à présent, eut alors un râle profond. Dans mon délire, je pensais au calembour de la chanson « l’ouverture des portes au pénis entier » ! Voyant sa chatte maintenant solidement emmanchée par cette verge raide, j’étais de nouveau excité comme un fou ! Je lui annonçais très distinctement ce qu’elle savait déjà. Mais les mots ajoutent beaucoup à l’excitation :
- C’est ton père qui t’a enfilée, ma chérie ! Tu te rends compte, c’est Alfred ! Ce que tu sens dans ta chatte, c’est sa bite ? Il t’a enfilé, complètement, à fond ! Je le vois !
Bien sûr qu’elle la sentait bien, et s’offrait même pour l’absorber au plus profond.
- Oui… oui…je sais ! J’ai senti ! dit-elle dans un soupir en léchotant ma queue qui commençait à rebander sérieusement sous la vision improbable du géniteur baisant sa propre fille.
Elle avait le visage contre mon pubis, toute ma queue pas encore complètement vaillante dans la bouche, mais elle ne me suçait pas. Elle me gardait simplement, toute à la disposition de son père qui commençait à la pistonner consciencieusement. Je regardais son mandrin luisant de son jus sortir puis entrer dans son tunnel à plaisir. Alors, il lui donna une claque sonore sur une fesse en disant :
-Tu m’as déjà vu faire ça, hein chérie ! Tu m’as espionné, hein quand je baisais avec ta mère ou avec d’autres. Et ça t’a excitée, hein ! t’aimes ça, hein, ma fille ! Au fond de toi, t’en voulais, hein ! Dis-le, hein que tu en voulais ! Tu voulais que je te baise aussi, hein !

Cécile, subjuguée par les paroles de son père et le martèlement de la verge qui s’activait en elle, grogna, ma bite encore en bouche, une sorte de « moooohh mmmmou » qui voulait probablement dire « oui », en cambrant encore plus sa croupe. Cela acheva de me remettre en forme ! Je me tortillais, échappais à sa bouche et me dégageais de son entre jambes. Je sortais du lit et, me mettant debout je regardais son père la prendre en levrette, les mains sur ses hanches, avec vigueur, excitation et joie manifestes. Ce plaisir était ostensiblement partagé ! Cécile, agenouillée, penchée en appui sur les bras fléchis appréciait visiblement de se faire vigoureusement ramoner par son père. Alfred insista alors :
-Dis-le que t’aimes ça, ma chérie ! Dis-le que tu aimes te faire fourrer par la queue de papa ! Dis-le ! Dis fort : j’aime ta queue Papa !
Terriblement excité, je savais la valeur des mots crus, voire salaces dans l’excitation, j’en rajoutais :
- Dis-lui Cécile ! Dis-le lui !
- Ouiiii ! J’ai-aime ça-a ! Hoqueta Cécile. Oui, j’ai…me… sentir… tes coups…de queue aller… bien au fond ! Oui…Papa ! j’aime… ta bite !
Je bandais à mort, maintenant. Les déclarations provocantes de Cécile décuplaient l’atmosphère érotique. Je prenais l’appareil photos que Alfred avait posé sur le guéridon et mitraillais Cécile entrain de se faire sauter ou plutôt tringler par son père. Il ralentit un peu, posant fièrement pour les photos, prenant des poses de biais pour que je vois nettement son mandrin entrer et sortir raide mais trempé de la chatte épanouie de Cécile.
-Tu as vraiment une chatte super ma chérie, dit-il. Elle serre ma queue avec fermeté, une étroitesse de jeune fille. Elle est bien chaude bouillante par ailleurs ! Elle est vraiment faite pour la baise, hein André !
- Viens, André, m’intima alors Alfred. Viens ! Pendant que j’occupe sa chatte, sa bouche est libre, non ? Elle va te sucer pendant que je la ramone. Deux bites ne lui font sûrement pas peur, j’en suis sûr. Hein chérie ? Mets-lui ta queue dans la bouche André !...T’avais pas encore fait ça avec André, hein chérie, baiser avec deux mecs ? Vous n’avez pas encore eu l’occasion je pense. C’est votre jour de découverte, alors !


Ça ne t’excite pas de sucer une bite pendant que ta chatte est fourrée par une autre, hein?
Si j’en suis sûr ! Deux bonnes bites rien que pour toi, ça t’excite, hein ! Tu vas la sucer, hein. Allez André, mets-lui ta queue dans la bouche !

Je bandais comme un âne, j’étais excité à mort de voir Cécile appuyée sur ses bras se faire emmancher vigoureusement en levrette par son père, de voir ses seins un peu lourds qui ballotaient à chaque coups de reins de Alfred, et de contempler son visage, ses yeux levés qui me regardait. Je m’approchais d’elle, présentant ma queue droite, raide sur gonflée. Immédiatement elle ouvrit la bouche. J’y plongeais alors ma verge bandée.
Elle commença aussitôt un mouvement de va et vient, rythmé par les poussées de Alfred ; quand il poussait, elle m’absorbait, quand il se retirait un peu, elle me relâchait un peu. C’était super excitant.

Mais Alfred qui avant n’avait été que voyeur, malgré sa capacité de contrôle, était vraiment au bout de son excitation. Sauter ça fille devait d’ailleurs décupler son excitation.
Il annonça alors :
-Je ne te demande pas si tu continues à prendre la pilule, ma chérie, hein ! J’espère que oui. N’est-ce pas, André ?... Tu sais Cécile, ton papa est endurant mais là, il est à cran et ta chatte est trop bonne ! Je ne vais pas me retirer ! Je suis trop bien dans ta chatte! Papa va bientôt… vider… ses couilles… dans ta jolie moule ! Il va se… répandre en toi ! Te remplir ! Je vais tapisser de mon foutre ta jolie cramouille ! Je vais… aAAAARRRGH…OOOOHHHH OOUII !

Le visage de Alfred s’était crispé, ses phalanges avaient blanchi sur les hanches de Cécile, son corps s’était raidi, tétanisé. Il donna quatre forts coups de reins, de boutoir devrais-je dire, ponctués de « han » sonores, qui devaient correspondre à ses jets de sperme. Cécile échappa un râle mi-plainte mi-plaisir tout en maintenant sa croupe exhibée, sa chatte offerte et maintenant certainement bien remplie. Je pense qu’elle jouit aussi en sentant l’orgasme de son père.

Après plus d’une minute, Alfred dégageât sa queue avec un « aaahhh » de satisfaction :
- Oh que c’était bon Cécile! C’est bon de te sauter ma chérie ! T’es une sacrée baiseuse ! André a de la chance ! Ramoner ta chatte à fond et jouir dedans, c’est un plaisir phénoménal ! J’avais les couilles pleines, mais je me suis vidé !
Et il ajoutât :
- T’as déjà vu ça, André ? Viens voir ce que j’ai fait à ma fille. Viens voir sa chatte bien remplie, dégoulinante de sperme ! J’avais de la réserve, ça fait quelques temps que je n’avais pas baisé. Et puis, elle m’a vraiment stimulé!
Puis à Cécile :
- Bouge pas chérie, reste comme ça, que je lui montre. Il connaît, lui, ma chérie, le bonheur, de se vider dans ta jolie petite chatte si serrée et si chaude. Mais il n’a jamais vu un autre en profiter. J’en avais tant envie ! Je t’ai bien remplie à fond. Regarde, regarde André, regarde sa moule comme elle dégouline blanche !
Effectivement, de la croupe encore un peu relevée, je voyais le sperme crémeux et blanc pâle de son père ruisseler lentement hors du vagin entre les petites lèvres bien ouvertes de Cécile et goutter sur le lit. Je réalisais que Cécile se contractait un peu exprès pour le faire sortir, pour nous exciter avec le spectacle. Alfred ma dit : Fait une photo, André : C’est la semence du Papa !

J’étais à cran, proche de gicler moi aussi, et j’envisageais de la pénétrer à mon tour pour mélanger nos fluides, mais un bruit nous surprit…

J’étais à cran, proche de gicler moi aussi, et j’envisageais de pénétrer Cécile à mon tour pour profiter de sa chaleur et mélanger nos fluides, mais un bruit nous surprit. Nous nous figeâmes, tous les trois. Pas le temps de se donner une contenance, encore moins de se rhabiller, la mère de Cécile était rentrée discrètement à la maison et en quelques minutes elle venait de nous surprendre dans la chambre !

J’avais subitement débandé. Alfred se tenait à poil, la queue pendante mais bien luisante du jus de Cécile mélangé à son sperme. C’était vraiment « un, deux, trois, soleil ! », la situation figée, les positions de chacun ne laissant guère d’équivoque ! Pourtant le visage de la mère de Cécile ne paru ni courroucé, ni outragé, ni même autrement surpris ! Moins que Cécile et moi en tout cas.
En s’adressant à moi, elle dit :

- Ah je vois ! Il s’en passe des choses en mon absence ! Et des pas banales ! Je suppose que vous êtes André, l’ami dont Cécile nous parle tout le temps, n’est-ce pas ! Eh bien André, vous devez certainement vous demander où êtes-vous tombé! Une singulière famille de débauchés, n’est-ce pas ?
Et toi, Alfred, tu as finalement réussi je vois ! T’es parvenu à tes fins, enfin ! Réaliser ton vieux fantasme : sauter ta propre fille ! Depuis le temps que tu en rêvais, hein. Tu m’en avait parlé plus d’une fois, tu te rappelles. T’as vraiment eu de la chance qu’elle ait cédé, c’était plutôt improbable… et surtout qu’elle ait un amant très, très complaisant qui ne s’offusque pas et te laisse aller à tes fins !
Bonjour ma chérie, dit-elle en se tournant vers Cécile, ça va ? Je dois t’avouer que tu as une mine resplendissante ! Dois-je comprendre que ça te réussi ? J’ai l’impression que tu n’as pas été trop contrainte par un père autoritaire, ni soumise à un amant complaisant, hein. Mais je reste persuadée que c’est Alfred qui vous a débauché tous les deux. Je me trompe ? Bon, il ne semble pas avoir eu trop de résistance. Ça lui trottait dans la tête depuis si longtemps. Quoique peut-être y avais-tu pensé toi aussi, Cécile, non ?

Devant un tableau incroyable, impensable, elle n’avait vraiment pas l’air choqué, ni en colère, comme si elle assistait à une situation inévitable, ou envisagée, voire prévue, probablement fantasmée de longue date ; comme si finalement sa sortie n’avait été peut-être, en fait, qu’un aspect d’un stratagème monté en complicité avec son mari. Alfred n’avait l’air ni surpris, ni penaud, ni contrarié, ni morfondu non plus. Un léger sourire imperceptible lui donnait même l’air d’assumer plutôt aisément.

Odile, que je n’avais vu qu’en photo jusque là, était une assez belle femme. Cécile lui ressemblait d’ailleurs, en un peu moins ronde. Elle n’était pas très grande, mais très bien proportionnée. Ses talons mi-hauts lui soulignaient la parfaite courbe des mollets : de jolies jambes fines. Sa jupe grise un peu ample et juste au dessus des genoux les mettait bien en valeur. Ses seins semblaient moins volumineux que ceux de sa fille. Malgré la saison chaude, elle portait un collant ou des bas légèrement noir. Elle avait un corsage assez fin blanc avec un motif en noir d’étoile qui faisait comme des zébrures. Elle était habillée avec goût, plutôt jeune, plutôt sexy. Ça tranchait sur nous trois à poil, Alfred et Cécile sur le lit, moi debout à coté ! Mais pas un de nous n’avait esquissé un geste pour se couvrir.

- Oui ! Vous avez l’air d’avoir vraiment pris du bon temps, j’ai l’impression… Mais André, n’ayez pas cet air coincé ! Je conçois que vous soyez désarçonné. J’ai l’air désinvolte… mais, croyez-moi, j’en ai vu d’autres, même si je ne suis pas blasée ! Alfred et moi ne sommes pas des innocents, lopin de là. Cécile le sait et vous l’a même probablement dit. Et elle semble avoir réussi à vous convaincre…A ce que je vois Cécile, André est vraiment très obligeant… et partageur : te laisser te faire sauter… c’est assez rare chez un jeune amoureux… et par ton propre père! Probablement très voyeur aussi, à ce que je vois. Vous avez même fait le reportage photo ! C’est vous…enfin toi, André, qui a eu l’idée ? Je suis tombée sur un tournage de film X, en quelque sorte ! Mais quel était donc le scénario ? Improvisé, je parie. Quel dommage ! Verriez-vous une objection à ce que je fasse l’assistante… pour que André puisse aussi faire l’acteur ? Non ? Une photo de ma fille chérie encadrée par deux hommes, son père et son petit ami, se serait super érotique ça, non ? Mais mon pauvre Alfred, j’ai l’impression qu’il te faut reprendre quelques forces ! Je crois que ta fille t’a vidé, au propre comme au figuré, ma parole ! Je me trompe ?

Ce disant, elle avait saisi l’appareil photo que j’avais posé sur la commode. Elle ordonna :
-Allez, André, allez les rejoindre. Approchez-vous de Cécile. Et toi chéri, tu peux te remettre où tu étais avant que j’arrive ! Même si t’avais fini…fait comme si… Je ne me trompe pas, n’est-ce pas ? Ah André, si vous voulez que Cécile vous fasse une fellation… une pipe quoi… il va falloir bander un peu plus que ça !

J’étais décontenancé ; la situation était surréaliste ! Ma petite amie se remet en appui sur ses bras, tendant son bas du dos pour permettre à son père de la reprendre en levrette, et sa mère m’ordonne de me joindre à ce jeu ! C’est en même temps extrêmement excitant. En m’approchant de Cécile, je lui passe la main dans les cheveux. Elle n’a pas dit un mot mais se montre plus qu’obéissante. En la voyant ainsi et en regardant sa mère qui me mate, je rebande vite…
-Oh, jolie queue, André! Allez Cécile, prends-la dans ta bouche ! Et toi Alfred tu rebandes ? Non ? Dommage, tu aurais pu enfiler la moule de ta fille de nouveau, ça ferait de super photos. Je suis sûre que vous en étiez là avant que j’arrive…je me trompe ?

Alors que nous nous exécutons et qu’elle nous mitraille de photos, elle questionne son mari :
-Alors Alfred ? T’es allé jusqu’au bout ? Je crois que oui ! Tu as joui dans ta fille ? C’était bon ? C’est comme tu en rêvais, la chatte de ta fille ? Tu y as pensé tellement souvent dans nos délires, hein ! Et vous André ? Ne restez pas passif ! Allez, insistez, enfoncez bien votre queue, que Cécile la pompe ! encouragez-la…Tu aimes bien sa queue, hein Cécile ? En tout cas, tu en donnes vraiment l’impression. Hum, très excitante cette scène…très, très excitante… ça donne des idées… que dis-je, plus que des idées, des envies… Je crois bien que je ne vais pas pouvoir rester simple voyeuse longtemps. Avec Alfred, je vous l’annonce André, nous avons toujours été acteurs jusqu’à présent, n’est-ce pas chéri ? Bien sûr nous avons fait des petits films avec des amis, mais nous étions plus souvent devant la caméra. Cécile doit bien le savoir, j’en suis sûre. Je sais qu’elle nous a parfois espionnés lorsque nous recevions ces amis… Si ça se trouve, elle a vu certaines des K7 ! Alors, peut-être que je pourrai me joindre à vous ? Qu’en dites-vous ? non ?
Alfred ajouta, malicieux :
-Tu demandes notre autorisation ? Vraiment ? Ça ne te ressemble pas.

Odile avait posé l’appareil photo. Elle déboutonna prestement son corsage mettant en évidence un soutien-gorge presque transparent qui laissait saillir des tétons bien durs, gros comme des noisettes.
- Aurais-tu imaginé, demanda Alfred, « jouer » un jour avec ta fille et son amant, ma chérie ? Tu sais, je suis convaincu que pour Cécile et André c’est leur première « partouze ». En tout cas une telle situation. N’est-ce pas, les amoureux? Mais s’ils sont d’accord, bien entendu. Et si j’en juge par leur attitude, je ne crois pas qu’ils aient d’objection. N’est-ce pas ?

Ni Cécile ni moi ne décrochâmes un mot. C’était du plein délire. J’étais médusé et un peu somnambule. J’assistais à une partie entre Cécile et ses parents… et moi, j’étais associé à ce jeu incestueux ! Je regardais, fasciné, Odile enlever sa culotte d’un geste que je trouvais d’une grâce excitante après avoir fait prestement glisser sa jupe. Elle n’avait pas de porte-jarretelles mais elle garda ses bas noirs. Pourquoi les avait-elle mis, puisqu’elle était visiblement adepte du bronzing intégral ? Elle détacha le soutien gorge, libérant ses deux seins pas très gros mais aux tétons très arrogants. Plus tard, je me dirai que sa tenue ne devait rien au hasard. J’admirais désormais son beau corps de femme mûre, sa toison pubienne légère et parfaitement taillée qui laissait deviner sa fente et ses seins biens ronds aux aréoles bien brunes. Elle s’approcha de moi, resté debout au bord du lit :
-Pardon Cécile, tu permets que je goûte André? Je ne voudrais pas que tu t’empoisonnes ! dit-elle avec un grand sourire.
S’asseyant alors sur le bord du lit, elle saisit ma verge d’une main et l’engloutit immédiatement dans sa bouche. Alfred, sans doute à la vue de sa femme s’occupant de moi, avait retrouvé quelque vigueur et semblait avoir retrouvé le chemin du fourreau de Cécile. Il s’agitait dans un mouvement de va et vient lent qu’elle accompagnait doucement. Odile suçait en experte, et son regard avait une façon de fixer le mien qui m’excitait au plus haut point ! Je sentais sa langue titiller mon gland, puis elle m’absorbait profond dan sa gorge et elle me re dégageait. Elle s’était volontairement mise en position de profil, que Alfred la voit bien engloutir et ressortir ma queue de sa bouche.
C’est là que j’entendis Alfred dire d’une voix un peu rauque et voilée:
- Regarde ta mère sucer ton petit copain, Cécile ! Tu l’as déjà vue sucer des bites, hein ? Mais oui, je parie, quand tu nous espionnais à certaines de nos soirées, n’est-ce pas ? Tu as pu voir qu’elle aimait ça ! Et ceux à qui elle le faisait en redemandaient ! Tu n’as pas peur qu’elle suce mieux que toi, et que André ne pense plus qu’à ça ?
C’était vrai qu’elle suçait d’une façon terriblement excitante. La bouche d’Odile était experte. Tout en continuant à pilonner doucement sa fille, il ajouta :
- Tu ne me croiras pas : Quand on s’est connus, ta mère ne le faisait pas, elle s’y refusait même. La fellation semblait la repousser. Puis je lui ai fait découvrir, à ma demande insistante. La première fois qu’elle me l’a fait, c’était pour me faire plaisir, pour m’exciter. Ça a marché, tu parles ! Je n’ai pas tenu longtemps. Je l’ai prévenue que j’allais jouir, mais elle m’a gardé. J’ai giclé et abondamment. Elle m’a gardé en bouche, a avalé mon sperme et elle s’est aperçue qu’elle aimait ça, vraiment ! Et quand on a vu des amis elle a réalisé qu’elle adorait sentir les hommes se raidir et gicler dans sa bouche, se vider en râlant. En même temps elle aime les regarder jouir ainsi… et que je la regarde ! Elle dit qu’elle adore sentir le sperme envahir sa bouche. Un jour d’une super partie, t’imagines pas, elle a vidé quatre hommes, pratiquement à la suite ! Et a presque tout avalé ! Je te jure qu’il n’y avait pas beaucoup de sperme à coté ! Et les mecs se branlait pour rebander et y retourner, tellement ils avaient aimé!

Le visage de Cécile était presque à la hauteur de celui de sa mère, il était rouge d’excitation et bougeait en cadence. Elle regardait de près Odile faire entrer et sortir ma bite de sa bouche. Elle avait les seins qui ballottaient au rythme des coups de reins de son père. Alors sa mère lui en saisit un et commença à le malaxer en douceur.
-T’as de beaux seins ma fille, plus gros que les miens. T’es vraiment une belle nana excitante… dit-elle en libérant ma verge. Puis la guidant d’une main, elle murmura à l’adresse de Cécile :
-A toi ma chérie! Suce-le ma douce. Je veux te voir faire…pompe la queue de ton amant… de André…
Puis soudain, alors que Cécile me prenait bien en bouche, elle m’interrogea :
-Et vous, enfin toi, André, tu lui bouffes la chatte ? J’imagine que oui, n’est-ce pas ? Elle est bonne ?... Tu aimes ça ? …
Ses questions fusaient et n’attendaient pas les réponses :
- Et la mienne, dis moi ? T’aurais pas envie de la brouter ?... Moi j’aimerais bien essayer, j’adore ça. D’accord ?

Ce disant, elle s’allongea sur le dos, se glissant sous Cécile en se faufilant et présentant ses cuisses bien écartées, les jambes pliées au rebord du lit. Ainsi positionnée, elle devait avoir son visage dans l’entre cuisses de Cécile, sous la verge de Alfred qui pistonnait sa fille. Elle m’exhibait sa superbe chatte sous le visage de Cécile. L’excitation avait fait son œuvre, les grandes lèvres étaient bien ouvertes.
Sans hésiter, je dégageais ma verge de la bouche de Cécile, ce qui me permit de reprendre le contrôle, car j’étais à cran, sur le point d’éjaculer.
Je m’agenouillais pour brouter cette excitante vulve béante et visiblement bien humide. Elle avait de jolies petites lèvres aux bords dentelés un peu brun. Un coup de langue me suffit pour finir de dégager son clitoris de la taille d’une myrtille rose pâle, un peu plus saillant que celui de Cécile. Je ne pus pas résister à enfiler deux doigts dans son ruisseau rose mouillé et je tétais avec délectation le joli bouton, le faisant rouler sous ma langue. Mes doigts furent rapidement trempés. Je les faisais aller et venir sur la partie légèrement rugueuse de son vagin tout en aspirant ce que je pouvais de son clitoris et je l’entendis dire :
- Ooooh… Elle est bien servie ta fille, Alfred… je ne parle pas de toi…mais son petit copain lèche super bien. On sent… qu’il aime ça ! Hein, Cécile ! C’est bon ! Et je dois reconnaître : c’est super excitant d’être broutée et de te voir baiser Cécile ! Sa jeune chatte aspire bien ta queue, hein Alfred ! Je peux… toucher ?
Nous étions silencieux, Cécile, Alfred et moi, trop concentrés à nos « ouvrages » et excités par les paroles de Odile. Elle continuait :
- Ooohhh…. Je pense que je…. vais…. prendre du… plaisir ! Continue André, conti…nue…oui bouffe-moi …la chatte comme ça…oui, tes doigts comme ça … Et toi Alfred… fourre pro…fond… et fort… ta fille…ça me…ça me…

Je sentis alors son corps se cabrer, ses reins redressant sa vulve que j’absorbais plus goulûment, puis se tétaniser. Ses muscles vaginaux serraient très fort mes doigts. Elle échappa un râle rauque puissant, mais intelligible :
- AAHHOUUUIII…OUIIIIII !
J’avais arrêté de lécher. Je gardais ma bouche ouverte appliquée sur sa chatte, et je sentais sur ma langue le goût de sa liqueur qui paraissait plus abondante et inondait mes doigts et même le dessus de lit. Sentant qu’elle « redescendait », j’enlevais précautionneusement mes doigts de sa chatte, qui restait épanouie. Mais moi, je n’y tenais plus. Les jambes un peu pliées, je présentais prestement mon gland bouffi devant son fourreau trempé. Je n’eus pas à appuyer bien fort pour enfoncer toute ma bite en elle. Ses muscles m’enserraient tant qu’elle semblait aussi étroite qu’une vierge. Déconcertant pour une femme qui semblait avoir une vie très « expérimentée ». Cette étreinte bouillante était voluptueusement excitante.

Cécile, les yeux effarés, fixait de près mon bâton raide, gonflé à exploser, empalant l’intimité de sa mère. Je prenais du plaisir à la laisser me regarder de près limer ce vagin maternel, puis je tentais de redresser son visage, une main sur chaque joue, pour l’embrasser. Je l’imaginais docile mais elle résista, hypnotisée par mon mandrin pilonnant la moule d’Odile et toujours agitée en syncopes sous les poussées désormais bien vigoureuses de Alfred. Je voulais fourrer ma langue dans sa bouche pour lui faire partager le goût de la liqueur intime d’Odile que j’avais gardée. Mais la situation fantasmatique et l’orgasme si violent d’Odile nous avaient conduits tous trois au paroxysme ! Ce n’était plus qu’une question de secondes.

Presque simultanément notre plaisir explosa, violent et assez bruyant ! Alors que je répandais mon sperme en puissantes saccades jubilatoires et libératoires au fond du ventre d’Odile, en grognant à chaque poussée, Alfred faisait visiblement de même dans la moule de sa fille. Cécile, également à l’acmé, probablement augmentée par les doigts ou la langue de sa mère, leva les yeux vers moi, se raidit, hoqueta ou plutôt « feula » bruyamment, le corps parcouru de frissons.
Nous restâmes u, instant figés, puis tous trois, sans un mot, en pamoison, nous retombâmes en planant comme des animaux fourbus.

Le lit paraissait maintenant bien étroit pour accueillir quatre corps non enchevêtrés ! Je me répandais en tendresse et en gestes câlins envers Cécile qui me les rendait, alors que Alfred échangeait de même son épouse. Nos corps repus étaient effondrés, vidés, pendant un instant.

Odile, ayant récupéré avant nous, annonça :
- C’est pas tout ça, mais ça donne faim ce genre d’activité. Je vais faire un brin de toilette, ça s’impose, n’est-ce pas André, et préparer un thé et des gâteaux !
Elle se redressa gracieusement et partit dans la salle de bain. Je me penchais vers Cécile et lui demandais bêtement : Ça va, chérie ?
Et sa réponse fut : hou, la, la ! houuuu !

Alfred enchaîna :
- Merci les enfants pour cet agréable après-midi. Vous avez été superbes tous les deux. Vraiment ! Alors André ? Cécile ne t’avait peut-être pas dit qu’elle avait des parents très…disons libertins ? Odile et moi savions qu’elle avait surpris plus d’une fois nos jeux, mais nous avions feints de ne pas nous en être aperçus. Plus d’une fois j’avais été tenté de l’associer, mais Odile était contre. Il n’était pas question de l’entrainer dans notre… débauche. Et puis l’inceste est toujours un sérieux tabou, n’est-ce pas ?
- Ben…heu…aujourd’hui…me risquai-je…
- Ben aujourd’hui, enchaîna Alfred, je crois que tu y es venue volontiers. Hein Cécile ?
D’une voie enrouée et basse Cécile répondit :
- Je vous avais vus à l’œuvre, si on peut dire. C’est vrai, ça m’avait donné des envies…et dans mon imaginaire, tu as été plutôt une référence, Papa. Mais là, faut dire aussi que tu as su nous entraîner. Hein André ? En fait, dis-nous la vérité. Ça a tout l’air d’un coup monté par toi et maman, non ?

Odile sortit de la salle d’eau, complètement nue et un sourire complice et se dirigea vers la cuisine.
-Non, pas vraiment, continua Alfred. Avec ta mère, j’avais souvent déliré en t’imaginant associée nos jeux. Elle me chambrait, on délirait, mais ça n’allait pas plus loin.
- Bon, moi aussi je dois faire un saut à la salle de bain, dit Cécile en se levant, car j’ai l’impression que tu as été particulièrement généreux, papa, et plus d’une fois !
Je restais donc seul avec Alfred.
- Tu te demandes dans quelle famille débauchée tu es tombé, hein André ? Vous êtes jeunes, c’est vrai, et vous n’avez probablement pas déjà les fantasmes des plus anciens. Je me trompe ? Ou en tout cas vous n’avez pas du en parler. Si ? Lesquels ? Allez, raconte André. Tu en as trop dit ou pas assez !
Encouragé, libéré par l’expérience fantastique que je venais de vivre, je m’élançais, commençant l’anecdote du bois…
Histoires et récits érotiques Inceste Père fille ***
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