J'ai Très Envie De Voir Vos Seins

J'ai Très Envie De Voir Vos Seins | Ca fait cinq mois que tu l' héberges ! pf ras le bol de ta sœur !" Balance sa fiancée exaspérée qu' elle ne quitte pas le domicile de son amant Robert. "Oh ça va, laisse là se remettre de son divorce Ok !" répond il énervé par son attitude car ils sont tous dans la trentaine et donc il trouve sa fiancée vraiment stupide et davantage encore. "Et puis cela peut paraître fou, mais je sais qu' à la moindre occase, elle ne se gênera pas de.

» Continue sa fiancée qui n' ose pas dire la suite mais choque beaucoup Robert. "Alors tu délires complètement ! Allez fous moi le camp !" Crie-t-il invitant sa fiancée à prendre la sortie de son pavillon tandis qu' elle s' excuse mais rien ne change sa décision puis il s' assoit sur son canapé et se prend la tête dans les mains "Pf mais quelle dingue !" "Je suis désolée Robert et il vaudrait mieux pour tous que je loge à l' hôtel !" Sursaute-t-il de la douce voix de hélène qui était entrée par derrière car elle voulait lui faire une surprise étant donné que c' était le jour de sa fête puis elle pose un magnifique bouquet de fleurs et file rapidement vers sa chambre prêtée.

"Non hélène. elle est tellement stupide. non ne part pas, restes !" Essaye-t-il de la rattraper car il se doute bien qu' elle a tout entendu mais sa sœur a fermé la porte et il n' ose pas entrer.

"Ne t' inquiète pas Robert, je trouverais un hôtel pas trop cher. je ne peux pas briser ta vie !" Dit elle à travers la porte tandis qu' elle prépare ses affaires.

Les mains posées de chaque côté de sa porte, il demande qu' elle ouvre afin d' avoir une discussion mais connaissant son caractère, il sait qu' elle tiendra sa décision donc il s' adosse contre le mur et soupire avant de regarder la porte de salle de bain puis de se souvenir.

"Oups désolée !" Revoit il plusieurs fois hélène sortir à moitié nue alors qu' il prévenait ses retours de haute voix afin de justement éviter ces moments très gênants puis il la revoit parfois entrain de cuisiner quelque chose dans son tablier tandis qu' il revenait du travail, elle avait ses cheveux partiellement noués ou détachés avec de grands sourires alors qu' elle goûtait de son doigt le dîner préparé qu' ils dégustaient avec de grandes discussions.

Et puis de son linge sale dans la salle de bain avec plusieurs culottes et strings affriolants presque mis en évidence notamment un string ficelle beige roulé qu' il se souvient encore de ramasser du sol avec un grand frisson qui lui faisait secouer sa tête pour chasser de mauvais esprits.

"Ouvres moi hélène ! Nous devons parler de quelque chose de sérieux!" Dit il accouplant le commentaire de sa fiancée et l' attitude de sa sœur qui répond ne pas vouloir ouvrir.

Puis il se rappelle de hélène accrochée au téléphone fixe qui refusait toutes les invitations prétextant à chaque fois une excuse plutôt pittoresque alors qu' elle acceptait à chaque fois n' importe quels de ces déplacements et soudain, il se souvient du deuxième jour de son hébergement lorsqu' elle entrait dans la salle de bain tandis qu' il était tout nu et face à elle.

"Oooh désolée. je pensais. que. tu n' étais pas. levé !" Disait-elle de façon saccadée entrain de fermer la porte avec l' œil furtif sur son paquet sexuel qu' il dissimulait vite.

"Mais quel couillon !" Se dit il en même temps qu' elle ouvre sa porte, debout, chargée d' une valise avec une main qui semble essuyer une larme qui a coulé.

"Quoi. pourquoi me regardes-tu comme ça !" Se sent elle dévisagée dans sa tenue de travail à mi-temps qu' elle venait de trouver, secrétaire dans une veste stricte à épaulettes contenant sa paire de seins comprimée dans un soutif de sport, assorti d' un pantalon en lin moulant tout son bassin jusqu' aux genoux affichant l' espace important de ses cuises fermes qui laisse entrevoir une brève fissure de sa chatte étant donné le décalquage de sa fine dentelle qui lui sert de sous-vêtement tandis qu' elle est chaussée de talons à aiguilles qui cambre ses reins.

"Robert ?" s' avance-t-elle visage penché car elle s' inquiète de sa béatitude "Ca va ?" Et puis de manière spontanée, il saisit les côtés de son visage afin de lui donner un picotin sur les lèvres tandis qu' elle sursaute et se recule promptement avec des yeux stupéfaits.

«Excuses moi de tout mon cœur. je n' avais pas compris !" bégaye-t-il entre la plus grande crainte de sa vie et la plus grande certitude qu' elle attendait son initiative. "hélène !" répond il espérant qu' il ne la pas fâchée car il voit ses yeux choqués se mouiller. "Robert !" lâche-t-elle sa valise avec sa bouche qui reste ébahie qu' elle cache par ses mains en se remémorant toute son attitude parfois exagérée et pourtant utile pour ses fins qu' elle ne croyait jamais voir le jour par le fait qu' il respectait plus que tout, sa tendre et jolie sœur. «Non. elle avait raison. wow !" s' étonne-t-il du résultat car sa sœur tombe sa veste au sol avant d' avancer vers lui tandis qu' elle penche son visage et fait rencontrer à nouveau leurs lèvres pour un picotin plus doux et plus humide de yeux ouvert puis qu' elle brise.

«Depuis que je l' ai vu, j' en crève d' envie!" Lui rappelle-t-elle les faits tandis qu' elle mets sans pudeur sa main sur son paquet sexuel qu' elle frotte frénétiquement. "Ooh hélène hum !" Se rend il compte de son désir qui était enfoui car il n' a jamais rencontré pareille main active sur son pénis qui répond immédiatement à ses massages. "Viens Robert.

viens me baiser sur ton lit. viens. viens !" l' amène-t-elle par la main dans sa chambre veillant à utiliser son prénom où elle entendait les gémissements de sa fiancée qu' elle essayait vainement d' étouffer. "Oh hélène.

si tu savais comment je trouve tes fesses. et ton gros cul sportif hum" gémit il avant d' arriver au pied du lit tandis qu' elle s' assoit et l' invite entre ses jambes afin qu' elle déboucle rapidement son pantalon pendant qu' elle passe sa langue autour de ses lèvres et le baisse avant de lécher son pénis à travers le dernier tissu qui est son boxeur. "Tu me montreras ce qu' elles méritent.

mais pour l' instant j' ai faim. wow !" s' exclame-t-elle libérant son pénis palpitant qui se développe encore vers le plafond tant il est long et gros puis elle s' accoude sur le lit fixant son sexe se dresser, s' épaissir du bout en forme d' ampoule. "Oooh hélène tu l' envoûtes hum" n' en revient il pas de son regard enflammé tandis qu' elle s' émerveille de grands sourires ahuris. «Wow ! Elle est superbe Robert ! c' est une banane des îles ! Trop belle !" Coasse-t-elle secouant une de ses main dans l' air tant elle est fascinée "Oh putain. elle grandit encore !" Rajoute-t-elle de son gland qui tourne au violet tandis qu' elle voit nettement son sensible frein se tendre comme un arc qui monte au plafond par sa hampe qui s' épaissit et se rallonge sans cesse.

"Oh hélène. je pense que l' inceste en est responsable. je n' ai jamais été aussi dur !" "l' inceste est le meilleur car il est interdit mais nous allons le faire !" Précise-t-elle avant de sortir sa langue pour la danser à l' extérieur tandis qu' il sursaute de frissons par ses doigts fins qui penchet son membre vers sa figure et qu' elle lâche en riant bêtement pour vérifier la forte tension de ses muscles sexuels qui s' entendent par le claquement de son gland sur son ventre.

"Aahh c' est pas possible. tu vas déjà me faire jouir ahuumm !" gémit il par le brusque penchement de son sexe et de son bout de langue déchaîné qu' elle se dépêche de fouetter sous la tête de son gland avant d' essayer de l' entourer pendant qu' elle louche dessus.

"Hum elle est trop bonne !" Tourne-t-elle sa langue dans sa bouche goûtant ainsi ses sécrétions qu' elle fait davantage couler par ses deux mains qui pompent entièrement son pénis.

Après un moment de torture, elle étire ses lèvres dans la stupéfaction audible de son frère qui s' étonne de sa grande ouverture buccale puis ensemble et sans difficulté, ils introduisent le champignon spongieux qu' elle jointe immédiatement après la couronne par ses lèvres.

"Ooh hélène !" gémit-il des sensations tandis qu' elle creuse ses joues pour le téter veillant à garder le contact d' œil avec lui. Il trouve son visage angélique et affamé.

"Grrhuumm"Grogne-t-elle bouche remplie de salive afin de conserver son nœud dans un liquide chaud et qui semble encore grossir tant elle excite par ses fortes succions audibles. Ne pouvant plus tenir à ses aspirations qu' elle accentue par des remuages de tête, il saisit ses côtés et commence à enfoncer son pénis jusqu' à buter sa gorge, la moitié est introduite puis délicatement il recule son bassin appréciant chaque millimètre de son pénis sortir autour de ses lèvres étirées vers l' extérieur et il répète cela tandis qu' elle maintient ses yeux mi clos. "Humm peu de femmes aiment se faire baiser la bouche hum !" Pleure-t-il de joie dans les va-et-vient qu' il impose de plus en vite étant donné qu' elle ne fait que gémir de cette pratique. Vue de dos, Robert crispe ses fesses aussi durement que s' il pratiquait le missionnaire. hélène masse ses couilles, griffe ses cuisses et son bas-ventre tandis qu' il ne se soucie plus de cogner le fond de sa gorge et baisant de trois quart de longueur sa bouche écartelée dégoulinante de salive par un bruit de succions maintenu à chaque aller retour. "Hum wow hum j' vais pas tarder hélène.

c' est trop bon oh wow hum !" Ralentit-il ses courses pour éviter d' éjaculer dans sa bouche mais dans sa surprise, elle prend le relais et impose dorénavant sa fellation avec une détermination incroyable car elle saisit ses fesses et se baise elle-même la bouche et gorge sans aucun état d' âme jusqu' à étonner fortement son frère qui exulte de sentir et voir ses lèvres s' enterrer dans ses poils tandis qu' elle cogne son front sur son ventre. De pur plaisir, il crie que si elle continue, il va éjaculer puis de là, elle refait deux gorges profondes avant d' extraire son pénis et de le pousser par ses cuisses. «Wow quel morceau. couvres moi de ton sperme. éjacules tout sur moi !" l' étonne-t-elle car elle est encore toute habillée et se positionne accoudée sur le lit avec sa langue qu' elle agite à l' extérieur et il ne faut pas plus d' encouragement à Robert qui empoigne son pénis comme une lance à incendie pour exaucer le souhait de sa sœur qui ricane et se tortille à chaque grand jet de sperme qui atterrit sur elle, cela le fait jouir abondement et en criant.

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"Hurg wow ! Donnes moi deux minutes, je me déshabille maintenant !" Ricane-t-elle des dégâts avant de se lever sur le lit et d' ôter ses vêtements de façon sensuelle tandis que Robert s' effondre le cul par terre avec le pénis remuant qu' elle tient du regard comme une proie.

"Je constate que je n' étais pas trop la seule à avoir très envie !" Précise-t-elle par les giclées de sperme éparpillées partout "Au moins pour la suite, tu éjaculeras moins vite !" "Arrêtes hélène !" Fait il bouder sa sœur qui a ses doigts accrochés dans les attaches de son petit string en dentelle car elle pense qu' il ne veut plus continuer leur affaire incestueuse.

"Arrêtes hélène. gardes tes sous-vêtements. tu m' excites encore plus avec !" Sourit-elle d' un coup car elle devine que d' avoir laissé traîner ses dessous sexys dans sa propre maison n' a fait que bouillonner ses couilles qui se confirme par son érection qui reprend vie.

Il faut dire qu' elle porte un ensemble assorti, qui de soie transparente blanche, aux broderie en dentelle rose accrochées de plusieurs minuscules marguerites, dont les courroies de son soutif sont tendues par sa lourde poitrine comprimée, aux tétons descriptibles par le fin matériel, tout comme sa chatte épilée en forme de cœur renversé, qui déborde légèrement des coutures par ses agitations, mais qu' elle rajuste pour qu' il se lève afin de la rejoindre sur le lit.

Les rapports clients, fournisseurs ne sont pas toujours que professionnels et peuvent être, parfois, la cause de problèmes. Je m'appelle hélène et je me demande encore comment, à 33 ans, j? en suis arrivée là.

Je suis brune aux cheveux mi-longs et mesure 1M70. j'ai des formes généreuses qui font que des hommes se retournent encore sur mon passage. Ma taille est fine et je suis cambrée ce qui met en valeur mes seins qui sont gros et très sensibles.

Mes fesses sont, elles, un peu rebondies (un peu trop à mon goût). Je fais un peu de gym chaque semaine pour garder la forme (et éviter les 'formes').

Depuis quelques mois, suite à une restructuration, mon mari part parfois ( je suis mariée avec Alain depuis 8 ans) plusieurs jours de suite dans la semaine. Ces absences rendent évidemment nos câlins plus espacés.

Je me suis accommodée de ce changement et je lui étais fidèle jusqu'à ce fameux jour de juillet. j'occupe depuis deux ans le poste de responsable des ventes dans une petite entreprise et c'est dans ce cadre professionnel que j'ai rencontré Rachid.

Rachid est de type maghrébin, comme son prénom le laisse supposer. c'est un grand et beau jeune homme qui a environ 25 ans, des cheveux noirs coupés courts et des yeux marrons.

Il a beaucoup de charme. Sous son costume très classe, on peut deviner un corps athlétique qui ne me laisse pas insensible. Durant les nombreux rendez-vous de travail que nous eûmes, il ne se gênait pas pour lorgner sur mes cuisses et plonger son regard dans mon décolleté (pourtant très raisonnable) pour reluquer mes seins chaque fois qu? il le pût.

? tant sur le point de signer avec sa société un très gros contrat, Rachid m'invita à déjeuner. Habituellement, je refuse ce type d? invitations, mais mon patron insista pour que j'accepta, soulignant que mon avenir et celui de la société dépendaient de ce genre de contrat.

Toujours est-il que j'accepta finalement l? invitation de Rachid, pour éviter les foudres de mon patron et aussi parce que, en définitive Rachid avait un je ne sais quoi qui m? attirait.

Quand je sortit à 12 h 30, Rachid m'attendait devant le bureau dans une grosse Mercédès et c'est ainsi que je me retrouva en sa compagnie dans un luxueux restaurant.

c'était le genre de restaurant où je n'aurais même pas osé regarder la carte, vu que sur le pas de porte se tient en permanence un concierge prêt à vous faciliter l? accès de l? établissement.

Rachid semblait y avoir certaines habitudes. Guidés, nous délaissâmes, à ma grande surprise, la salle de restaurant pour gagner un salon particulier. l'atmosphère y était beaucoup plus feutrée. Une table dressée nous attendait et une serveuse très stylée nous pria de prendre place sur un sofa, qui se révéla très confortable, pour y déguster un rafraîchissement.

Canicule oblige, j? avais, en cette chaude journée de juillet, un tailleur léger que je portais à même la peau. La veste, courte et cintrée, était fermée par 3 boutons nacrés.

l'échancrure de ce vêtement, quoique bien coupé, laissait voir la naissance du sillon mammaire. Plus bas, suivants les mouvements de mon corps, apparaissait l? entre bonnets d'un soutien gorge en tulle blanc que j'aimais porter.

Les balconnets transparents de ce soutien gorge (95D pour les connaisseurs) enserraient la moitié de mes gros seins et laissaient leurs parties supérieures découvertes. La jupe assortie, fendue sur un côté, s'arrêtait au-dessus des genoux et moulait parfaitement mes fesses.

Le slip, assorti au s-g, recouvrait largement mon fessier. Pour compléter ma tenue, j? avais chausser une paire de sandales à hauts talons. La première coupe de champagne épancha ma soif et les petites bulles des deux autres qui suivirent me mirent dans de bonnes dispositions.

Une bouteille avait été vidée. (Moi qui ne buvais que rarement de l? alcool, je suis étonné d? avoir accepté de boire les trois verres sans avoir esquissé le moindre refus.

) Pendant que nous buvions le champagne, je m'étais aperçue que le regard de Rachid se portait très souvent sur le haut de mes jambes. Quand je bougeais, ma jupe se relevait d'avantage, dévoilant involontairement mes cuisses.

j? avais essayé, au début, de tirer discrètement sur ma jupe. Seulement, au bout d'un certain temps, je dus bien m'avouer que les efforts que je faisais pour allonger ce bout de tissu ne servaient à rien et non seulement, je ne fis plus rien pour dissimuler le haut de mes cuisses, mais au contraire, je croisais et décroisait souvent les jambes.

? tait-ce à cause du champagne ingurgité trop facilement (et trop vite) ou le regard insistant de Rachid, mais ce petit jeu me troubla quelque peu. Pour passer à table, Rachid quitta son veston et me proposa de me mettre à l? aise.

(Je ne pouvais évidemment pas faire comme lui. ) Le service fut attentif et très discret. Une fois à table, le déjeuner, aux mets raffinés, se déroula plaisamment. Encouragée par Rachid, je bus du vin plus que de coutume.

La conversation fût plaisante, parfois grivoise. Rachid me faisait une cour discrète mais soutenue. Après avoir déjeuner, il me pria de le rejoindre sur le canapé , où il venait de s'asseoir, pour déguster le café.

Après avoir bu le café, en l'absence de la serveuse zélée qui avait disparue, Rachid me fit boire un digestif très fort. Les propos de Rachid s? orientaient souvent vers le sexe.

Moi-même, grisée par l'alcool, je lui avoua que ma relation charnelle, avec mon mari, n? avait plus la même intensité depuis plusieurs mois. Je sentis sur moi son regard salace.

Je me laissa aller à certaines confidences concernant notre couple. Je lui confessa encore mon émoi lorsque les regards des hommes se font trop insistants. Impertinent, il me dit alors à voix basse : -'hélène, il fait très chaud ici, allez, ouvrez au moins un peu votre veste ! Nous sommes entre nous.

La nature vous a donné des formes généreuses et une très belle poitrine. c'est dommage de les cacher. Et j'ai très envie de voir vos seins ! ' l? alcool et le vin, après les apéritifs, m? avaient 'libérée' de ma retenue habituelle et j? avais très envie de rester auprès de Rachid car il me plaisait de plus en plus.

Je lui avoua alors qu? il m? était difficile de lui montrer ma poitrine, sur quoi, il répliqua: -' j? ne vois pas pourquoi ! Lorsque vous êtes sur la plage, vous montrez bien votre poitrine, et ils sont jolis vos seins, non ? ' Je lui répondis en m? embrouillant : -'Oui, mais c? est pas pareil.

Je serais même gênée d? exhiber mon soutien gorge en public. dans un lieu privé' -'c? est juste de la gêne, hélène? Alors laissez vous aller, fermez les yeux.

Vous allez voir, il y a au fond de vous un plaisir latent, qui va vous submerger, malgré vous. Vous avez peur de vos désirs ? Osez, c'est cela qui est excitant.

Allez, hélène, je vous en prie, ouvrez votre veste, je vous promets d? être sage' lança-t-il, ? trangement, les propos de Rachid me troublèrent. Avais-je envie de m'exhiber? Je n? avais pas la réponse, mais mes tétons étaient à ce moment totalement raides et je sentais mon minou s? humidifier.

De plus, je ne voyais pas d? alternative à sa demande. Devrai-je le planter là aux risques de voir le contrat m? échapper et passer pour une 'oie blanche'? Je ne voulais pas décevoir , aussi je lui dit, cramoisie : -'c? est d? accord, vous m? avez convaincue, à cause de la chaleur, j? ouvre ma veste mais rien de plus et surtout promettez-moi de ne pas bouger ! ' Je n? entendis pas sa réponse et, d? une main, je déboutonna le vêtement, fixant Rachid droit dans les yeux.

Je ne baissa les yeux que pour constater ce que, par mon geste, j? offrais aux regards de Rachid. Repoussés par ma forte poitrine, les pans de la veste s? étaient largement écartés,.

Le haut du soutien gorge couvrait à peine mes pointes gonflées d? envies dressées au centre des aréoles sombres, mais le tulle transparent lui ne cachait rien. -'Voilà, vous êtes content ? Lui lançais-je, penaude.

-'Vous êtes magnifique', souffla-t-il déconcertée, j? ai un peu tenté de cacher ma poitrine avec mes bras et la veste avant de reprendre notre causerie. Après m'avoir fait boire un autre petit verre d 'alcool, et comme une douce mélodie venait combler nos rares silences, il m'invita à danser.

Je n'osa pas refuser son invitation et nous nous mîmes à danser très près l'un de l'autre. j? eus quelques difficultés à garder mon équilibre, (à cause de l? alcool) mais Rachid me soutenait fermement.

Il écrasa délicieusement ma poitrine de son torse puissant et glissa ses mains sous ma veste pour me caresser légèrement le dos. Son regard plongeait dans le mien. ? moustillée, je noua mes mains autour de la nuque de mon cavalier.

l? alcool et la chaleur de ses caresses commencèrent à me bouleverser sérieusement. En dansant, et je sentais son sexe plaqué contre mon ventre (il bandait et moi. je mouillais).

Rachid déposa sur mon visage de petits baisers qui descendirent lentement vers ma bouche. j'aurais pu protester, le repousser, mais je ne fis rien. Par défi, je tourna légèrement la tête pour le jauger, les yeux dans les yeux.

Je sentis son souffle sur mes lèvres. Il en profita pour poser sa bouche sur la mienne et en prit possession. Sa langue investit ma bouche dans un baiser profond et violent auquel je répondis.

Son baiser mit mon corps en feu ( il dut le remarquer car je me pressa tout contre son corps). Ses mains, abandonnèrent mes reins pour descendre le long de mes fesses puis sur mes jambes.

Ses doigts saisirent l? ourlet de ma jupe et la remontèrent jusqu'à ma taille. (je ne fis rien pour arrêter son geste) Il me caressa alors les fesses, glissant ses mains entre le slip et la peau.

j? étais à la fois paralysée et heureuse. Je me laissais palper, collée à lui, les yeux fermés, sans avoir tenté le moindre mouvement de recul. Nous restâmes ainsi un long moment presque immobiles.

Seules nos bouches et ses mains s? activaient. Ses doigts prenaient, sans ménagement, possession de mon corps qui, malgré moi, s? abandonnait à lui. Comme je pressais, sans m? en rendre compte, ma poitrine gonflée contre son torse, Rachid me repoussa doucement.

d'une main habile, il écarta les pans de ma veste et glissa quelques doigts délicatement à l'intérieur de mon soutien-gorge. Le contact de ses doigts diaboliques sur ma peau m'excita énormément.

Il n? eut aucun mal à extraire mes gros seins de leurs balconnets tant ils étaient gonflés d? envie. Il trouva un mamelon dressé, s'y attarda, le faisant rouler entre deux doigts, le pinçant pour l'étirer, puis le quittant pour attraper l'autre et lui faire subir le même sort.

Des ondes de plaisir traversaient tout mon corps. Je gémis doucement et ma tête roula sur son épaule. Je fus presque soulagée lorsqu'il ôta ma veste. (j? avais aussi très chaud) Je garda les yeux fermés, sachant quel spectacle j? offrais.

Les nichons à l? air, je me donnais, sans honte. De sa bouche charnue, il reprit mes lèvres. Le baiser se prolongea alors qu'il continuait à malaxer mes gros seins et à triturer leurs pointes dressées.

Ma fente coulait littéralement, inondant ma culotte. j? étais incapable de réagir. j? étais à la fois très excitée et effrayée qu'un homme (autre que mon époux) puisse ainsi me donner autant de plaisir en me caressant.

Mais je ne voulais pas briser ces doux instants. ( je me suis dit, à ce moment là, que j? accepterai tout de lui) Puis la main qui me touchait les fesses vint frôler mon ventre par dessus ma culotte.

Quand il effleura ma fourche, je crus m? évanouir. Il força mes jambes à s'écarter, lui donnant ainsi le libre accès à la partie la plus chaude de mon corps.

Ses doigts se déplacèrent au-dessus du voile triangulaire. Machinalement, j? ouvris encore un peu plus les cuisses. De ces doigts, il appuya sur le tissu inbibé, le faisant rentrer entre mes lèvres humides.

Ayant ensuite contourné la frêle étoffe, il trouva facilement mon clitoris gonflé et l? agaça de son pouce. Il massa avec délicatesse mon bourgeon congestionné. j? étais comme en transe.

Alors que je commençais à avoir de délicieux picotements dans les reins, avec une certaine brusquerie, il saisit l? élastique de ma culotte et la fit descendre le long de mes cuisses.

Ses doigts découvrirent mes lèvres intimes détrempées. - 'Ma belle salope, tu es complètement trempée ! ', me lance-t-il. Avec fermeté, sa main prit possession de mon entre-jambes tout entier, n'épargnant pas un centimètre carré, du pubis à l'? illet anal.

Rachid me faisait dégouliner de plaisir. (j? étais effectivement trempée) Ses doigts sur mon clitoris malmené enflammèrent mes sens un peu plus. Rachid ressortit ses doigts gluants et les porta à ma bouche.

Je fus déçue par son geste, mais je les embrassa. Il insista et força mes lèvres. Alors je les suça malgré tout pour ne pas le décevoir. Je me surpris à aimer les téter.

Ses doigts sentaient mon odeur et étaient enduits de ma jouissance, cette effluve m? excita comme une folle. Tandis qu'il recommençait à me doigter, je dirigea ma main vers son sexe.

Après avoir constater le volume impressionnant de l'objet de ma convoitise, je baissa la fermeture éclair et je sortit l? instrument de son pantalon. Je n'avais jamais eu en main un si gros membre.

(Sa bitte est beaucoup plus grosse et plus longue que celle de mon mari, Alain). Mon corps frémit à ce chaud contact. Curieuse, je me pencha pour mieux apprécier les dimensions imposantes de la queue de Rachid et je la pris en bouche sans trop de préliminaires.

Il se laissa sucer deux ou trois minutes. Son sexe avait un goût âcre avec une forte odeur d'urine. j'avais les sens en ébullition. Puis il me repoussa et me demanda de me déshabiller entièrement.

- 'j'peux pas me mettre complètement nue, ici ? répondis-je en rougissant,. c'est très gênant ! ' Ignorant mon refus, il passa ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge qu'il m'ôta habilement en disant: - 'Fais pas ta mijaurée, personne viendra nous déranger' Je finis par lui obéir et j'enleva le peu d'habits qui me restait.

Je retira alors ma culotte, qui était restée bloquée au dessus de mes genoux et quitta ma jupe, jetant le tout au sol et avec, ma pudeur, pour n? entendre que mon désir sournois.

j? étais à poil dans ce salon et, excitée comme une guêpe. Je n? en éprouva pas de honte. - 't'es pas mal roulée ! Et j'aime bien tes gros seins en forme en poire, commenta-t-il en les prenant en main et en les soupesant' Il recommença délicatement à effleurer du bout des doigts mes pointes de seins, déclenchant à nouveau chez moi d? agréables frémissements.

Il se pencha sur mon buste et me suça alors les bouts tout en me frictionnant les mamelles de ses doigts envoûtant. Tout en dévorant ma poitrine, il m'entraîna sur le canapé et avec beaucoup de douceur, me fit allonger, me tirant les fesses au bord du siège.

Je protesta sans beaucoup de conviction. Il s'accroupit devant moi, releva mes cuisses en m'écartant les jambes et enfouit sa tête dans ma fourche. Profitant de ma passivité, il me mordilla les cuisses après avoir déposer de petits baisers.

Il se rapprocha plus encore de ma chatte et, à grands coups de langue, lécha les sucs qui s? écoulaient de ma vulve. Je maintins mes jambes complètement écartées tandis que je me faisais copieusement brouter le minou.

Le plaisir m? avait fait tout oublier, ma nudité et l? endroit où je me trouvais. Sa langue pénétra au plus profond entre mes lèvres dégoulinantes et mena une danse délicieuse.

Pendant qu? il me branlait de ses doigts, sa bouche aspira mon bouton, ce qui me secoua fort. Sans me laisser de répit, d'un doigt curieux et gluant de mon jus, Rachid chatouilla ma raie avant de pénétrer mon rectum.

Je pensais qu'il allait se contenter d'un doigt dans cette brèche, mais, bien au contraire il accentua les va-et-vient de son doigt dans mon anus et, la bouche toujours vrillée à ma chatte, il enfourna alors un deuxième doigt et me ramona complètement les entrailles lubrifiées de ma mouille.

Ma jouissance me surprit. j'étouffa de petits cris tandis que sa langue et ses doigts, unis pour mon plaisir, me déclenchèrent un orgasme fulgurant. -'Oui, encore, m? entendis-je crier' Encouragé, il souleva d? une main mon bassin et je sentis alors sa langue descendre entre mes fesses et pénétrer mon anus.

Pendant ce temps, les doigts, qui avaient quitté la place, s'activaient à nouveau sur mon pauvre clito enflammé. La manoeuvre me crucifia et m'arracha de nouveaux gémissements de plaisir.

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Rachid me lâcha pour se relever. Il baissa rapidement pantalon et caleçon jusque sur ses chevilles, exhibant sa queue gonflée et s'allongea à mes côtés. Il embrassa mon visage, lécha mes lèvres et m'enfonça sa langue dans la bouche pour un baiser sensuel.

Insatiable, il continua de me branler le minou, éperonnant de deux doigts mon vagin. j'étais à peine remis de ma précédente jouissance et il recommençais déjà à solliciter mes sens encore en émoi.

Sans lâcher mon sexe, il m'attira vers lui en me disant: -'Viens me sucer maintenant ! ' j? avais surtout envie de sa grosse queue au fond de mon sexe, mais il m? avait tellement excitée que je ne pouvais rien lui refuser.

j'ai saisi le pieu et j? ai commencé à le branler lentement. Puis, je me suis redressée pour me courber vers son ventre. Je lui ai léché le gland quelques instants puis j'ai pompé son sexe dressé qui semblait défier ma bouche et j'ai accéléré mes va et vient.

(Je fus obligée d'ouvrir les mâchoires au maximum tant son engin était large. ) Au bout d? un moment, je l'entendis haleter et je sentis sa queue enfler encore dans ma bouche : il allait jouir.

j? abandonna le pieux congestionné pour remonter mon visage vers le sien. On s'embrassa fougueusement, sa langue enroulant la mienne. Il en profita pour me caresser les seins qui pendaient au dessus de lui.

(c? est fou comme j? aime ce genre de caresses) Il me repoussa vers son sexe et je quitta, à regret, ses lèvres pour positionner à nouveau ma bouche sur sa queue.

Tout en suçant en cadence le membre écarlate, d? une main, je branlais avec vigueur sa tige. Pendant ce temps il me doigtait le sexe et le cul de plus en plus vite.

Je sentais que j? allais encore jouir. Le phallus de Rachid était devenu énorme dans ma bouche et je me déchaîna. Il me tint par les cheveux pour que je ne puisse pas me dérober (je n? en avait pas eu l? intention) et il m'éjacula au fond de la gorge lâchant quatre ou cinq jets de foutre chaud, que j'avalais en suffocant.

Quand il me libéra de sa queue, je pus décontracter ma mâchoire et reprendre ma respiration. Son foutre coulait de ma bouche. Il lâcha enfin mon sexe et je posa ma joue sur son ventre.

Mais d'une main, il repoussa ma tête vers son bas ventre et de l'autre il me présenta son dard encore bandé en disant : - 'Suces moi encore, j? aime ça ! ' Obéissante, j'engouffra sa bitte dans ma bouche et la suça avec délicatesse jusqu? à ce qu? elle retrouve de la vigueur.

Il bandait lorsqu? il me proposa de boire une coupe de champagne qui attendait dans un sceau rempli de glace. Encore toute étourdie (pas seulement à cause du champagne), je fus ravie quand Rachid présenta sa grosse queue à l'entrée de ma chatte détrempée et l'enfonça délicatement en moi.

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Je sentis (avec bonheur) sa puissante verge remplir complètement ma vulve. (elle n? avait jamais été aussi bien remplie) Il me besogna très fort et je me mis à jouir sans retenue.

Après un moment, Rachid cessa pour me retourner et je me retrouva à genoux sur le canapé. c'est pris en levrette que je reçus une nouvelle fois sa bitte au plus profond de moi.

(je me souviens qu? il allait très loin) Comme il avait déjà joui dans ma bouche, il fut endurant. (j'avais l'impression qu'il ne s'arrêterait jamais) Je sentis sa bitte dure comme une barre d? acier écarter mes chairs les plus secrètes.

j'avais l'impression que mon sexe s'ouvrait encore plus à chaque poussée et qu? il allait, à chaque coup, un peu plus loin dans mon intimité. j'étais un trou béant qui coulait et son pieu me comblait totalement.

Un nouvel orgasme, encore plus violent que les précédents, me secoua. Mon corps ébranlé se dérobait sous lui. Il me repositionna sur le canapé et s? arrangea pour que mes jambes soient encore plus écartées.

Il retira son membre de ma chatte ruisselante, pour frotter de sa main mon sexe ruisselant. Il humecta, avec ma mouille, ses doigts, sans chercher à me pénétrer, avant de replonger sa queue en place.

Avec ses doigts couverts de ma liqueur, il titilla mon trou du cul. Un de ses doigts lubrifiés de mouille s'y enfonça sans difficulté. Son doigt tourna dans mon fourreau étroit, assouplissant les parois.

Un deuxième doigt (plus gros que le premier) suivit le même chemin, puis les deux ensemble, et il commença à me masturber le cul comme il l? avait déjà fait.

c'était super, d'être ainsi remplie, sa queue dans mon sexe et ses doigts dans mon cul. Mais il quitta assez vite l'endroit pour présenter son pénis bandé à l'entrée de mon ? illet dilaté.

Je m'affolais quelque peu car j'étais presque vierge de ce côté là. (mon mari ne m? avait sodomisé que 2 ou 3 fois en 8 ans) Je le supplia d'arrêter.

Les mains fermement accrochées à mes hanches, Rachid poussait doucement. Mon cul s'ouvrit avec peine devant le calibre imposant du vit. Mais il s'enfonça, centimètre par centimètre, me provoquant une vive douleur.

Il me pénétra totalement, jusqu? à ce que son pubis touche mes fesses. (mon cul igné me faisait grimacer de douleur) Il laissa le temps à mon corps de s'habituer à son énorme cylindre.

Sa verge resta plantée longtemps dans mes entrailles. Lentement, Rachid bougea en moi. Mais, cette sodomie, après m'avoir enflammé le cul, embrasa progressivement mon corps et mes sens. Je devenais comme folle et, tout à coup, je me mis à jouir sans discontinuer, orgasme sur orgasme, incapable de me maîtriser.


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  • La douleur qui m? avait taraudé, peu à peu, avait fusionner avec un plaisir perfide qui galopait dans mes reins. Ma fente ne put pas retenir le flot de jus qui s? écoulait le long de mes cuisses pour finir sur les coussins.

  • Rachid envahissait mes reins et augmentait régulièrement la cadence. Son ventre claquait sur mes fesses rebondies. Sans retenue, je mordis ma main pour ne pas crier. (Un marteau pilon défonçait mon cul.

  • ) La violence de cet assaut fut stupéfiante. Après un temps qui me parrut interminable, Rachid grossit encore dans mes fesses, se raidit et déversa sa semence au fond de mes entrailles en grognant, me clouant dans un ultime et interminable orgasme.

  • Nous restâmes longtemps sans bouger, Rachid couché sur moi, sa queue fichée au plus profond dans mon cul. Lorsque qu'il décula mon trou resta ouvert et son foutre s? écoula lentement de mon fondement.

  • Satisfaite, je le remercia pour cet hommage bestial d'un gourmand baiser. Il m'indiqua un cabinet de toilettes. Je récupéra mes vêtements, sauf mon slip qui avait disparu, que je remis après une rapide toilette.

  • Lorsque je refis apparition Rachid s'était lui aussi rhabillé et m'attendait en buvant du champagne. Il était quatre heures de l'après-midi lorsqu'il me déposa, repue, devant le bureau. Le lendemain, le contrat mirifique était signé et quelques jours plus tard, Rachid me téléphona.

  • Il insista pour que l'on se revoie. Devant le peu d'enthousiasme dont je fis preuve, il insista, me rappelant les moments fous passés au restaurant. Je restais sous son charme et finalement je céda et lui proposa de le rencontrer deux jours plus tard, le mardi en soirée, sachant que mon époux serait absent pour la nuit.

  • Il fut convenu que Rachid m'attendrait devant son immeuble vers 19 heures. Rachid me rappela quelques minutes plus tard et me dit ces quelques mots avant de raccrocher: -'hélène, Fais moi plaisir, mardi, ne mets pas de culotte ! ' Au sortir du bureau, je passa chez moi pour éliminer les traces de sueur accumulée pendant cette chaude journée et je changea de tenue.

  • Il était presque 19 h 19 quand je gara ma 206 devant la résidence où Rachid m'avait fixé rendez-vous. Comme prévu, je l'appela sur son portable et il fit son apparition quelques instants plus tard, sortant du hall d'un immeuble proche.

  • Après avoir échangé deux bises, il me prit la main et m'entraîna dans l'immeuble. Sur le palier de l? appartement, je lui dis: -'? coutes, Rachid, j'aime mon mari et je n'ai pas envie d'une liaison suivie.
c'est la dernière fois qu? on se retrouve tous les deux. Je veux que notre relation reste uniquement professionnelle' Il ne répondit pas et s'écarta pour me laisser entrer dans le vestibule.

Après avoir refermer la porte, il m'attira à lui et, en m'enlaçant, m'embrassa sur la bouche. Sa langue s'infiltra dans ma bouche et je me laissa aller à l? exploration linguale que m? imposait Rachid.

Bientôt ce baiser ardent eut raison de mes inhibitions. Je répondis à son baiser, faisant aller et venir avec passion ma langue contre la sienne, la provoquant jusque dans sa bouche.

Rachid, désunissant nos bouches soudées, me repoussa avec douceur, m? adossa contre la porte et dit: -'hélène, après ce qu? on a fait ensemble au resto, j? te veux encore plus.

c? est ok pour ta décision, mais je veux que tu me promettes de faire ce soir tout ce que je te dirai. j? te jure, tu vas pas regretter'.

Je ne compris pas bien le sens de ses paroles mais je le laissa faire lorsqu? il retira complètement mon débardeur, levant même les bras docilement, pour lui faciliter la tâche.

Je portais, comme d'hab. , un soutien-gorge à balconnets qui faisait bomber mes seins, laissant leurs parties supérieures bien dégagées. Sous le soutien-gorge, je sentais déjà ma poitrine se gonfler et mes bouts de seins durcir.

d'un geste expert, Rachid dégagea des bonnets mes gros seins. Il se rapprocha, m? embrassa délicieusement dans le cou, puis il se pencha juste assez pour porter ses lèvres sur mes seins dénudés, au niveau des mes aréoles brunes.

Sa langue s'enroula autour des boutons si érectiles qui ne tardèrent pas à se gonfler d'excitation. ( Les bouts de mes seins sont hyper sensibles et deviennent particulièrement longs lorsqu? ils sont sollicités).

Ses baisers sur mes seins éveillèrent mon plaisir. Pendant ce temps, les mains de Rachid frôlaient ma peau nue et provoquèrent en moi d? agréables frissons. Elles glissèrent ensuite jusqu? au bas du dos pour investir et caresser mes fesses charnues.

Il fit lentement remonter les pans de ma jupe légère. Il constata, en touchant mes fesses et mes reins nus, que, comme il me l'avait demandé au téléphone, je n? avais pas mis de culotte.

La vue (enfin presque) de ma tenue lui arracha un sourire. Je sentais mes tétons excités enfler dans sa bouche. - ' Tu aimes ça ? ' me demanda-t-il, entre deux sucions - ' Oui, mais ne t'arrête pas, ' répondis-je, Mais à mon regret, il abandonna rapidement mes seins.

Il se baissa, mit un genou au sol et, de sa main droite, me massa le ventre et s? attarda sur mon pubis quelques secondes, lissant mes poils soyeux.

Après, de ses doigts il pénétra ma fente déjà humide. Il débusqua mon clitoris qu? il tritura d? un doigt (sans doute le pouce), tandis que, de deux autres doigts, il éperonnait mon vagin qui commençait à suinter.

Il s? écarta ensuite légèrement de moi et me demanda de retirer ma jupe. j? étais excitée comme une puce, je lui obéis et me retrouva seulement vêtue de mon soutien-gorge, les seins et les fesses à l'air, alors que lui était encore entièrement habillé, à genoux entre mes jambes.


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j? étais à la fois très gênée et très émoustillée de cette situation. (cela me rappela ma nudité dans le restaurant) Puis Rachid reprit et accentua le pelotage des mes lèvres humides.

Ses doigts me pénétraient un peu plus profondément et le doigt sur mon clito se faisait de plus en plus pressant. Mes jambes devinrent molles, mes cuisses tremblaient comme des feuilles et je mouillais comme une fontaine.

Alors que je m? abandonnai à ses caresses, sentant mon orgasme monter, il stoppa tout mouvement et dit: -'Tu veux mes doigts entre tes fesses? ' -' Fais moi tout ce que tu veux' répondis-je d? une voix langoureuse.

Il écarta mon fessier et glissa ses doigts dans la vallée impudiquement ouverte et, d? un doigt, pénétra mon anus et commença la masturbation du sphincter. j? ouvrais le plus largement possible mes cuisses.

Je gardais les yeux clos et je sentais son souffle sur mon sexe. Ses doigts étaient partout et me faisaient défaillir. Alors que je sentais à nouveau l? orgasme s? éveiller, il s? arrêta.

(j? avais envie de faire l? amour, mais Rachid jouait avec mes sens en mettant mon corps en feu. ) Il se releva, me prit par la main et me conduisit jusqu? à un vaste salon.

Au centre de la pièce, alors que je n? avais pas eu le temps de la découvrir en totalité, Rachid unit nos bouches de nouveau pour un baiser endiablé.

Il glissa ses mains dans mon dos, le caressa quelques secondes et dégrafa mon soutien gorge (qui ne soutenait plus rien depuis un moment) avant de le jeter au sol.

Ses mains emprisonnèrent mes seins pour les pétrir avec fermeté, puis ses doigt s'amusèrent avec les pointes oblongues. Je sentais le plaisir monter en moi au fur et à mesure que le baiser se prolongeait.

De plus, je sentais son sexe dur dressé contre mon ventre nu. Cela amplifia encore mon désir. Je croyais être seule avec lui aussi j? eus le choc de ma vie lorsque, se désolidarisant de moi, il me fit pivoter pour me retrouver face à trois jeunes d? une vingtaine d? années qui occupaient fauteuil et canapé disposés dans une deuxième partie de la pièce.

j? étais nue devant eux, en pleine lumière, au centre du salon. Il y avait là un jeune couple de type nord-africain, et un grand noir. Rachid me ceinturait fermement.

Par réflexe, de mes mains libres, je tenta de cacher ma poitrine. Je finis par me blottir dans les bras de Rachid. Penchée sur son épaule, je cacha mon visage dans le cou de Rachid (espérant ainsi, peut-être, me dissimuler des regards inconnus) exposant ainsi à nouveau mon dos et mes fesses.

Rachid, doucement, fit en sorte que je leur fis face, tout en me maintenant entre ses bras et me présenta ses amis: -'Sur le canapé, c? est Malika et son copain Amine et le grand black dans le fauteuil, c? est Omar' a cause de l? écrasante chaleur de ce mois de juillet, les trois jeunes étaient légèrement vêtus.

Les deux garçons portaient chacun un tee-shirt publicitaire aux couleurs criardes et un short en toile. Le short de la jeune fille était vraiment très court et son débardeur laissait voir un nombril orné d? un brillant.

Amine avait une main sous le vêtement de la fille et lui pelotait un sein. Amine parut tout de suite assez fasciné par mon opulente poitrine. Il ne quittait pas du regard mes seins et s? adressa à la cantonade: -'t? as vu les gros nichons qu? elle a, c? est trop bon, j? ai la trique rien qu? à les regarder ! ' Je me sentais au bord du gouffre, incapable d? avoir la moindre réaction.

Rachid était surexcité (de m'exhiber devant ses invités? ). Je le sentais presser son sexe dressé dans son pantalon de toile fine contre mes fesses nues. Je ne pouvais éviter ses mains qui pelotaient mes seins.

Je protesta mollement mais Rachid redoubla d? ardeur. Puis il m? embrassa délicieusement dans le cou. Ces baisers, plus les attouchements sur ma poitrine si sensible, enflammèrent à nouveau mon corps.

Mon sexe continuait à mouiller sérieux. j? ai alors fermé les yeux pour n? écouter que le plaisir qui montait dans mes reins (et aussi pour éviter le regard des trois autres) et, malgré moi, j? ai gémi sous ses caresses.

Immédiatement après, j? ai senti d? autres mains sur mes seins Quand j? ai ouvert à nouveau les yeux, le jeune Amine était planté devant moi, ses mains persécutant mes tétons.

Il se rapprocha encore et, tout en enserrant mes nichons de ses mains chaudes, me téta avec vigueur, aspirant, l? une après l? autre, mes pointes tuméfiées. Quand j? ai enfin voulu esquisser un geste, ils m? ont tous les deux fermement maintenue, leurs mains se refermant sur ma poitrine.

j'étais tétanisée. ( je devais être écarlate). Rachid empêcha tout exil de ma part en augmentant son étreinte. Au bout de quelques minutes, je laissa tomber toute résistance car j? étais au bord de la jouissance (malgré moi) et ils redoublèrent leurs 'méchantes' caresses (je dois admettre qu'une nouvelle fois, mon excitation avait primé sur la raison ).

Machinalement je posa une main sur la nuque d? Amine dont la bouche vorace continuait de me travailler les bouts délicats. Ils m? ont ensuite emmenée pantelante jusqu? à la table du salon, en me disant de m'y asseoir.

Amine s? est installé devant moi, a quitté rapidement short et caleçon exhibant un sexe long et fin qui bandait fièrement pour le présenter devant ma bouche. Il n? eut pas à m? obliger.

(j? étais très excitée et j'avais envie d? une queue). Je compris vite que mon envie, hélas, passerait après la sienne, aussi je le suça sans fioritures. Ma langue descendit et remonta lentement de nombreuses fois le long de sa verge, puis je pris sa bitte dans ma bouche.

Je tourna ma langue autour de son gland l? enduisant de salive. Je le suça bien fort et quand je le sentis à point, j'accéléra mon mouvement. Il ne résista pas longtemps à mon traitement et se déversa.

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j? avala chaque giclée de sperme. Je garda un peu la bitte d? Amine dans ma bouche tandis qu'elle devenait flasque. Je la lécha consciencieusement. ( peut-être pour faire durer le plaisir un petit peu plus longtemps.

) Mon sexe était plus que mouillé, il était trempé. Après cette petite 'mise en bouche', Rachid me demanda de m? étendre sur la table basse. Je m? allongea sur la table sans discuter et je le laissa me guider.

Il prit soin de placer mes fesses tout au bord de la table, mon sexe orienté vers les voyeurs. Il s'agenouilla devant moi, le visage à hauteur de mon pubis, et m? écarta les cuisses de manière à ce qu? il puisse observer ma fente béante.

De ses mains douces et chaudes il caressa l? intérieur de mes cuisses puis mes fesses. l? excitation à nouveau m? envahit. Amine, à mes côtés, recommença à me peloter les seins, pinçant légèrement les tétons et les étirant.

Rachid passa ensuite mes jambes par-dessus ses épaules (pour que je sois encore plus ouverte) et engagea son visage dans ma fente. Il disjoint délicatement mes lèvres intimes et je sentis sa langue aller et venir dans ma chatte humide.

Chaque coup de langue m'arrachait un soupir. Il entra ensuite plusieurs doigts dans ma fente pendant qu'il léchait le reste de mon sexe. Mon bourgeon était si sensible, qu? un frissonnement me parcourut les reins lorsqu? il le titilla d? un doigt inflexible.

La bouche de Rachid et les mouvements de ses doigts me faisaient mouiller abondamment. Il dut sentir que ma jouissance était proche, aussi, quand il pinça fortement mon clito entre ses doigts une vague de plaisir m? emporta et je lâcha un flot de cyprine qui dut lui inonder le visage.

Il se redressa un peu, me sourit et me dit alors que si je voulais partir maintenant 'on' ne me retiendrait pas. -'t? es un beau salop, Rachid,. mais continues ! ', lui répondis-je à mi-voix, posant une main sur sa tête et attendant, les jambes largement disjointes, qu? il veuille bien continuer à s? occuper de moi.

Mais il se retira d? entre mes jambes, me laissant pantelante, en disant: -' c? est Malika qui va continuer avec toi, tu vas voir, elle va t? apprendre des choses ! ' Ce faisant, Malika s? approcha vers moi.

elle me toisa, se pencha vers moi et déposa un baiser sur mes lèvres. Elle renouvela son baiser, m? aspirant la bouche avec rudesse. Je tenta de refuser son étreinte en la repoussant.

Mais je ne pus résister longtemps car Rachid me maintint les bras et Malika commença à me caresser les seins. Malgré son jeune âge, elle était vraiment douée: elle me les malaxa, les tritura et pinça mes bouts si sensibles pour les étirer plus encore.

Ce fut à la fois douloureux et divin aussi quand je sentis mon sexe palpiter et ma liqueur couler, à ma grande honte, je répondis à son baiser. ( ce fut mon premier baiser avec une autre personne de mon sexe): sa langue s? insinua entre mes lèvres, repoussa mes dents et s'enroula sauvagement sur la mienne plusieurs minutes durant.

Rachid m? avait lâché sans que je m? en rende compte. Puis Malika se détacha de moi et, tout en continuant à titiller mes tétons, s'adressa à moi : -' Rachid est un bon coup.

Tu as du apprécier de faire sa connaissance ! Il m? a raconté qu? elle salope tu es ! ' j? étais un peu déstabilisée par Malika qui alternait le chaud et le froid (avec moi plaisir et vexation).

Elle me laissa quelques secondes de répit puis, après m? avoir un peu plus écarté les cuisses, elle commença à me masturber. Elle y allait très fort. Ma chatte était détrempée et je sentis ses doigts loin en moi, fouillant avec méthode mon minou.

Je m? abandonna aux pulsions de Malika. j? avais l? impression qu? elle voulait faire entrer un pieu énorme dans mon vagin ( je savais qu? il ne s? agissait que de quelques doigts d? une de ses mains).

Elle m? arracha des gloussements alors qu? elle tentait de forcer le passage. Elle m? écarta ensuite les chairs intimes et puis poussa sans faiblir jusqu? à ce que, tout à coup, je sentis (et vis) la main qu'elle avait introduite s'engouffrer en entier au fond de mon sexe dilaté.

(c'était inimaginable, cette sensation de remplissage) Je jouis à plusieurs reprises alors qu? elle me branlait lentement, ressortant presque sa main dégoulinante de mon jus pour la faire soudainement pénétrer jusqu'au poignet.

(Je n? avais jamais été 'caressée' comme ça) Elle ressortit sa main ruisselante de cyprine, qu? elle me présenta et me lança: -' t? en veux plus? Tu veux te faire fourrer la chatte maintenant par une grosse queue? t? en as envie hein? ' Comme je restais sans répondre, Malika s? agenouilla à mes pieds, écarta les replis de ma chatte et sa langue se porta sur mon clitoris gonflé.

(subjuguée, je la regardais s? activer entre mes cuisses ouvertes). Quand elle a commencé à me mordiller le clito, j? ai poussé des petits cris. Modifiant à chaque instant son rythme, en quelques secondes, la bouche talentueuse me fit craquer en un orgasme explosif.

Vaincue, des lames de plaisir m? envahirent les reins. Je criais ma jouissance. Rachid intervint: -'? a suffit, Malika, tu l? as assez chauffée. Maintenant elle peut faire connaissance avec ta chatte' j? étais dans un état second, lorsqu? elle se releva.

Elle enleva son petit débardeur. Elle ne portait pas de soutien-gorge. Ses petits seins étaient fièrement dressés. Elle fit glisser short et string le long de ses jambes hâlées pour apparaître complètement nue.

Elle avait la vulve épilée. Seul un triangle de toison restait sur son pubis. Elle contourna la table basse et, comme un félin, se positionna au dessus de moi, tête-bêche, les membres de chaque côté de mon corps, en position de 69.

(Je n'avais encore jamais vu une chatte d'aussi près. ) Ses lèvres n? étaient pas totalement ouvertes, mais je pouvais voir sa liqueur poindre à l? orée de son sillon mystérieux.

Contrairement à ce que je pensais, elle sentait bon et l'odeur m'enivra. Je sentis à nouveau sa bouche s'occuper de mon sexe. Sa langue torride déposa de la salive et s? agita à nouveau sur mes lèvres en feu et sur mon clitoris électrique.


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Malika lapa avec avidité les sucs qui s? écoulaient de ma vulve cramoisie tandis que ses doigts habiles caressaient les abords de mon anus tellement trempé de mouille et de sa salive qu? il accepta facilement les doigts que Malika lui imposa.

Puis je sentis ses doigts tourner dans mon cul, essayant de s? enfoncer le plus loin possible. (Je sentais mon plaisir s'étendre à tout mon corps). Mon bassin allait au devant de ses caresses.

Alors qu? elle enflammait mon clitoris en le massant délicieusement entre ses doigts, elle écrasa alors son sexe luisant de mouille et le frotta contre mon visage. Je n'arrivais plus à me tenir.

j'avais le menton et les joues barbouillés de son jus qui coulait en quantité. Attisée par l? envie qui me tenaillait, je redressa finalement la tête pour aller à la découverte du sexe de Malika.

Je commença par l'embrasser timidement. c? était tout chaud et gluant. hésitante, je donnais des petits coups de langue timide. Un jus poisseux et épais s'échappait de sa vulve béante.

Elle me guida quelques instants par des mouvements de son bassin. Ma langue tendue trouva la pointe contractée de son clitoris et, de mes sucions, je lui provoqua un bel orgasme, elle laissa échapper un cri et sur mon visage un flot de cyprine.

Ensuite elle enserra avec force ma tête de ses fines cuisses et inonda sans prévenir, mon visage et ma bouche, d? un jet d? urine chaude. l? expulsion du liquide me surprit mais ne calma pas le feu qui était en moi.

Les doigts de Malika, pendant ce temps, dévastaient mon anus pris au piège. Ils glissaient facilement à l'intérieur, me troublant au plus haut point. Ses doigts (nombreux) écartèrent encore plus et je sentis alors une chose plus grosse et plus chaude que ses doigts pousser progressivement sur mon anus.

Je sentis ce que j? imagina alors être une verge tendue progresser dans mon corps. Je me contorsionnais sous l? assaut et je n'arrivais plus à embraser la moule de Malika.

Le rustre qui s? était introduit en moi agita lentement ses reins afin de s'habituer à mon antre. Je sentais son sexe taper loin dans mon fondement, les couilles butant contre mes fesses.

Malgré moi, mon plaisir était en train de me submerger, aussi, j'agita mes reins à mon tour, allant au devant du 'supplice'. j? étais empalée à fond, ma libido à son comble Le sodomite commença à aller et venir en moi plus fermement, sa grosse queue m? arrachant des gémissements d'aise.

Heureusement, il ne lui fallut que quelques minutes pour dégorger ses jets chauds au fond de mes entrailles, m? entraînant dans un nouvel orgasme. Il quitta mon anus d'où je sentis s? écouler la semence.

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Malika releva sa croupe, (libérant ainsi mon visage). Rachid me présenta sa queue flasque et maculée. Il enfonça son gland dans ma bouche et je découvris sur ma langue les effluves de son passage dans mon anus.

Malika grignota mon bouton d? amour et je continua de jouir un long moment après qu? elle eut cessé ses coups de langue. Ils me laissèrent reprendre mes esprits et boire un verre d? eau.

Puis Rachid me demanda de me lever. Je tenais à peine sur mes jambes et comme je lui disais que j? étais trop éreintée pour continuer, il me conduisit jusque devant Omar, le grand noir, (qui jusque là s? était contenté de regarder) et dit: -'Tu vas voir, Omar est un magicien, il va te faire redémarrer ! ' Omar me paraissait gigantesque.

Tout en lui semblait démesuré, il était très grand, (près de 2 mètres, je pense), il avait des mains énormes et un visage massif. Sous son short, je pouvais deviner les formes d? une longue queue bandée.

Il se leva et se pencha pour coller ses lèvres épaisses sur ma bouche et mêla sa langue charnue à la mienne pour un puissant mais bref baiser. Ce baiser m? étourdit quelque peu.

Il me souleva dans ces grands bras comme une poupée de chiffon pour me déposer dans un vaste fauteuil. Il saisit un petit pot qu? il ouvrit pour prendre une bonne dose d? une crème opaque et visqueuse sur deux de ses gros doigts.

Il me l? appliqua avec douceur autour du bout d? un sein en décrivant des cercles. Au fur et à mesure qu? il me pommadait, les zones traitées devenaient brûlantes (comme si j? avais été piquée des milliers de fois).

Puis il recommença la même opération sur l? autre sein. Des ondes malicieuses parcouraient ma poitrine. Omar souffla légèrement sur mes pointes dressées, ce qui me fit frissonner (de plaisir) et déclencha des picotements au bas de mon ventre.

Il prit mes gros seins dans les mains, les souleva et les laissa tomber. Je reçus comme une secousse brutale au creux des reins. De ses mains agiles, Omar excita longuement mes seins dénudés.

Mes pointes étaient devenues ultra-sensibles et une violente décharge parcourut tout mon corps lorsqu? il les pinça. Puis il s'empara des deux bouts pour les étirer un peu. Mes pauvres seins n? étaient plus qu? une boule de feu.

Il colla alors sa bouche vorace sur mes lèvres et aspira ma langue délicate, ce qui me fit jouir immédiatement. Secouée de violentes contractions , je sentais mon sexe palpiter et s? ouvrir et laisser écouler mon miel.

Les mains d? Omar délaissèrent ensuite ma poitrine pour se consacrer à mon minou. Allongée sur le fauteuil, les cuisses ouvertes, j'offrais mon sexe aux doigts experts de cette homme.

Il agitait sa grosse main dans tous les sens. j'appréciais cette caresse et je ne pus m'empêcher de pousser un soupir de satisfaction lorsqu? il planta un ou deux doigts dans mon vagin dégoulinant et sur mon clito endolori.

Je ne savais plus où j? étais et des spasmes de plaisir embrasaient mon ventre. Puis un doigt de son autre main se porta sur mon anus. Il distendit le muscle souple, avec facilité (tant de cyprine s? était écoulée de mon sexe), pour s'enfoncer dans l'étroit goulet.

Le doigt géant, malgré sa grosseur, s'enfonça à fond entre mes fesses et remua si bien que je réagis involontairement en ondulant des reins. Puis il se leva et ôta rapidement son short.

j? eus alors sous les yeux (ou presque) une énorme queue noire, décalottée. (certainement la plus énorme queue que je n? avais jamais vue en vrai) Il reprit place sur le fauteuil et dit: -'Ma cocotte en sucre, viens me sucer ! ' Comme un automate, je me suis glissée entre ses jambes et j? ai saisi son dard bandé, il était vraiment très gros ( ma petite main ne faisait pas le tour de l? engin) et j? ai tendrement tété son gland tout en lui caressant les couilles velues.

Autoritairement, au bout de quelques dizaines de secondes, il me dit de venir sur lui. Jugeant, peut-être, que je n? allais pas assez vite pour lui, il me souleva par la taille et me plaça au dessus de lui pour le chevaucher.

Il me fit descendre doucement, son sexe oblong me pénétrant irrémédiablement. j? étais embrochée complètement sur sa bitte d? ébène. Malgré tout, ce fut comme une délivrance, (j'avais à ce moment là un besoin insoutenable de me faire prendre.

) Arrivé en buttée au fond de mon utérus, un bon morceau restait encore en dehors. Puis il me souleva, jusqu'à presque sortir de moi, et me relâcha, et mon corps retomba pour s? empaler plus loin encore sur sa verge gigantesque.

(j? étais comme une poupée de chiffons entre ses mains) Dans cette position, il allait vraiment loin. Après de longues minutes de ce terrible traitement, j? étais couverte de sueur et mon sexe inondé dégoulinait abondamment de mouille.

Puis il s'immobilisa (j? avais senti que son sexe gonflait encore, prémices à l? explosion de son plaisir). Taraudée par un désir inconscient, j? ai commencé alors à monter et descendre le long de son bâton de chair, puis, rythmé par de légers bruits de succion, j? ai accéléré.

Il a joui enfin en restant enfoncé au plus profond de moi, son sexe dégorgeant dans ma chatte trempée. Un tremblement parcourut mon corps et à nouveau je jouis comme une folle.

Il me dit à l? oreille: "Tes une vrai salope, toi!". Il reprit son souffle (moi aussi) et s? allongea sur le dos, m? entraînant avec lui, son pieu toujours bandé et fiché au plus profond de mon sexe chauffé à blanc et dit: "Amine, ramènes-toi, y? a son cul qui te réclame".

Je compris l? invite et je réalisa avec effroi que j? allai me faire prendre par deux mecs en même temps (pour la première fois). Je n? eus pas le temps de réagir que déjà Amine se tenait derrière moi.

a cheval sur Omar, je devais offrir, d? une manière obscène, mes fesses à Amine. Je le sentis se positionner à l'entrée de mon cul et son souffle sur ma nuque.

d? une légère poussée, il introduisit son gland dans mon cul sans que je ressente la moindre douleur. (le passage de Rachid par cette voie un peu plus tôt m? avait certainement bien dilaté) Il progressa délicatement jusqu? à ce que sa bitte fut entièrement en moi.

j? avais le ventre et le cul remplis par ces deux sexes. La sensation était étrange, très forte, l'émotion commençait à me monter aux yeux. Ils se mirent à me pistonner comme des bêtes, me besognant à un rythme effréné.

Leurs coups de boutoir me firent tant vibrer que, dans un délire charnel, je poussa un grand cri et m'évanouis quelques instants, brisée par la violence du plaisir. Lorsque je rouvris les yeux, ils ne bougeaient pas mais avaient toujours leurs queues plantées en moi.

m? ayant vue revenir à moi, Omar me gratifia d? un sourire et d? un tendre baiser sur mes lèves tremblantes et sous son impulsion ils reprirent leurs va-et-vient.

Je jouissais du cul et de la chatte, percutée dans mes trous. Omar, sadique, en profita pour s? emparer de mes seins et les masser sans ménagement. Des ondes électriques me parcouraient du plus profond de mon sexe jusqu? à la pointes des seins.

Des orgasmes à répétition incendièrent mon corps, m'amenant au comble du plaisir. Après de longues minutes, Amine, le premier, parvint à jouir. Dans un grognement, il s? enfonça au plus profond de mon cul et se vida.

Son éjaculation entraîna dans tout mon corps de puissantes vagues de plaisir. Il fit sortir son sexe de mon derrière dans un gargouillement lubrique. Omar était plus endurant et il accéléra encore la cadence.

Je me remis à gémir et finalement à hurler de plaisir de sentir sa grosse queue me bourrer encore plus profondément. Ses coups résonnaient jusque dans ma tête. Au bout de quelques minutes, Omar s? immobilisa, planté au fond de mon vagin, comme tétanisé et joui longuement.

Secoué par de violents spasmes, je m? écroulai sur sa poitrine. Il demeura fiché en moi pendant quelques instants et retira enfin son sexe mou et dégoulinant. Après quelques minutes de récupération, je quitta le fauteuil où j? avais subit cet incroyable assaut.

Sans un mot je ramassa mes vêtements éparpillés çà et là dans l? appartement. Je me rhabilla machinalement, le corps endolori et encore frémissant de plaisir. Repue de jouissance, harassée de fatigue, je n'avais plus qu'une envie : dormir.

Je quitta alors les lieux pour m? enfuir dans la nuit. j? ai pris du plaisir avec eux, (beaucoup de plaisir) mais j? aime mon mari et je ne veux pas briser mon mariage.

Aussi, après cette 'aventure' (que je ne souhaite pas renouveler), je n? ai pas revu Rachid et ses amis.
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